Sujet: Pardon mais c'est trop bon... Dim 26 Oct - 6:37
Pardon, mais c'est trop bon...
Je me trouvais à l'entrée de cette forêt. Moi, ma tignasse blonde comme les blé et un survet', aujourd'hui j'avais besoin de décompresser. En effet, j'en avais un peu marre de ne pas trop savoir ce que je devais faire, je devais apprendre à avoir confiance en ce lieu mais en même temps j'avais toujours appris à fuir, et je me méfiais de se dont je pouvais être capable. La question existentielle était de savoir l'importance qu'occupait le paraître. Ici j'aurais peut être pu être acceptée avec mes ailes aux dires de certaines, mais bon la question se posait différemment à présent que je ne les avais plus. On m'avait dit de m'accepter comme j'étais. Sauf que j'avais arrêté d'être moi même le jour où je m'étais arraché les ailes pour redevenir humaine. Bien sûr cela n'avait pas vraiment fonctionner et on peut dire que le monstre en moi était un peu comme endormi, mais je savais que j'étais toujours cette créature, ce monstre qui différait des autres. Peut importe le nom qu'on attribuait aux choses de mon espèce je détestais cela.
Vous me direz surement que ce n'est pas une raison de me traiter de monstre, mais vous ne comprenez pas je ne faisais pas partie de ces gamins rebelles qui veulent à tout prix se faire remarqué et qui du coup se fond un peu rejeter, non je faisais plus partie des personnes qui veulent à tout prix être entouré, se fondre dans la masse. Je parle pas non plus de nanas populaire non mais... Sauf que voilà je n'y ai pas droit, alors cesser de me jeter la pierre je l'ai bien compris et je continue ma vie toute seule. Après tout je n'ai besoin de personne n'est ce pas ? Puis personne ne comprendrait les marques que j'ai dans le dos, ces tatouages en forme d'ailles cachant les marques laissées par celles qui n'auraient jamais du pousser... Enfin bon il faisait assez frais pour que je puisse courir avec une veste et je n'avais donc pas à me soucier de cela. Je n'avais à vrai dire plus grand chose à me soucier. Je m'explique, on m'avait dit que je n'avais plus besoin de fuir, que je serai accepter, donc je pouvais vivre normalement, je n'avais plus d'autorité, plus de parent pour me demander de ranger ma chambre. Je n'avais plus à fuir, je n'avais plus la contrainte de me cacher. C'était cela peut être la liberté.
Avant de me décider de partir pour une petite course, je regardais le ciel, il était d'un bleu éclatant, sans nuage sans rien d'un calme époustouflant. Je vérifiais l'attache de mes chaussures, ainsi que de celle de mes cheveux. Je n'aimais pas être gênée quand je faisais du sport, même si on était jamais à l'abris qu'une mèche ou deux décide de ne pas faire comme les autres à rester sagement attachée. Puis je me mis en mouvement, mon rythme de croisière était soutenu, je n'avais pas vraiment besoin de savoir où j'allais je laissais mes pieds guider sur le chemin qu'ils décidaient. Tant qu'ils évitaient les racines et autres conner*es et que je ne me prenais pas un arbre en pleine poire je pourrais presque fermer les yeux.
Pendant que je courrais je me perdais dans des réflexion, pourquoi ne m'avait on pas accepté, finalement je n'étais pas dangereuse, j'aurai peut être pu faire des blagues continuer à être la fille pleine de vie qu'on connaissait, mais s'était peut être trop demandé, aujourd'hui je ne devais pas avoir de regrets pour ce qu'il s'était passé par le passé. Je n'aurai de toute manière pas pu l'empêcher. Je ne maîtrisais pas la situation à l'époque, pas plus que je la maîtrise aujourd'hui. Mais en soit, est ce que je ne devais pas espérer que je m’intégrerais ici ? Et qu'est ce que je devais faire de mes journées. Comment occuper mon temps libre. Alors oui je pouvais aller lire un livre à la bibliothèque, écouter de la musique, faire mes devoirs, j'aurai pu trouver une télé pour passer le temps. Mais j'étais quand même quelqu'un qui aimait le grand air, je ne pouvais pas rester enfermer trop longtemps, une sportive... Et puis je n'en savais pas encore assez sur les lieux et sur le monstre que j'étais et pourquoi il serai plus accepter ici, pour pouvoir me détendre, j'avais l'impression de toujours avoir besoin d'être en mouvement je ne pouvais pas m'empêcher d'aller à gauche et à droite.
Je ne saurais vous dire pourquoi la course me détendait à ce point là, peut être était est ce le rythme qui me berçait, surtout que pour une fille j'y allais de bon train. Ma queue de cheval se balançait au rythme des ondulation de mon corps, en faite une fille qui court cela pouvait être très intéressant à regarder. Par contre si vous n'êtes pas un minimum sportif je vous déconseille d'essayer de me suivre... Quand est ce que j'allais m'arrêter je n'en savais rien. Il fallait avouer que ma cavale m'avait rendu endurante, et que je ne saurais pas vous dire pourquoi j'étais capable de me surpasser quand je courais, c'étais presque à en oublier mes contraintes physiques quelles qu'elles soient. Enfin bon. Je ne veux pas passer pour un super héros, j'avais beaucoup maigrit depuis que j'avais quitter les cours et que je fuyais toute forme de vie, donc du coup peut être que je tiendrais moins longtemps. Peut être que c'était une mauvaise idée d'être partie courir comme cela. Surtout que personne n'étais jamais vraiment au courant de se que je faisais, il faut dire que je ne connaissais que peu de monde jusqu'alors.
Mon souffle régulier, mon rythme constant finissait par me vider vraiment la tête au fil du chemin que je parcourais. Et c'est une fois pleinement détendu qu'il faut toujours qu'il vous arrive le pire. Oui je devais avoir arrêter de faire attention à tout ce qui m'entourait comme un peu shooter par le sport que je pratiquais. Je ne saurais vous dire comment cela s'est passé, si j'ai trébucher d'abord sur une racine, mais je n'ai pas pu l'éviter. Je l'ai heurté de plein fouet. Cet homme que je ne connais pas....
Dernière édition par Jennyfer Definder le Sam 27 Déc - 21:46, édité 3 fois
Invité Invité
Sujet: Savoure le silence, avant le saccage. Moi je tourne en rond comme un lion dans sa cage. Dim 26 Oct - 19:22
Avec moi les traitresses c’est comme les phrases, elles prennent un poing c’est tout.
Depuis sa trahison, William n’était plus qu’une loque, dont le seul objectif n’était plus de réussir, ou d’être heureux, mais d’extraire de cette douleur lancinante qui le démolissait à chaque fois qu’il y pensait. C’était horrible, insoutenable. Chaque pensée à ce sujet était dévastatrice, elles l’anéantissaient. Mais aujourd’hui, il s’imposa de changer de méthode, non pas de son plein gré, il en fut forcé. Ce matin-là, il se leva en sursaut, il n’arrivait plus à respirer, son foie lui faisait atrocement mal, et sa tête était en train de se faire broyer par un rouleau compresseur. Il réussit à ramper jusqu’à sa salle d’eau et pris un bain glacé le temps que cela passe. Et les douleurs prirent tout leur temps avant de s’en aller, le laissant gémir sans la moindre empathie. Ou peut-être ses organes lui rendaient juste la pareille de ce qu’il leur faisait subir. Il devait etre 6 heure du matin, le moment ou le soleil commence à pointer le bout de son nez, dormir ne serait alors plus possible. Et il avait d’ailleurs trop peur de dormir à nouveau vue ce qu’il avait subi. Il se rendit dans son salon et étala une carte d’Another qu’il avait acheté dans une station et remarqua une forêt, voilà, il irait chasser, ça l’aiderai peut-être a oublié. Au moins un temps.
Surtout ne pas prendre ses habits habituel, sinon ils ne seront plus utilisable. Il enfila un T-shirt ainsi qu’un sweat et un bas de survêtement ainsi que des tennis, le tout couleur marron/vert forêt assurément, chasser en jaune fluo n’est pas recommander en terrain forestier. Il fouilla ses affaires en sortit un glaive romain qu’il avait acheté jadis lorsqu’il était au paroxysme de sa passion pour l’empire romain, ainsi qu’un couteau automatique, au cas où. Muni de ses clefs, il alla prendre sa voiture en bon fils à papa pour ce côté-là, et se rapprocha autant qu’il put de la foret. Il était mal équipé, n’avait pas de sac, pas de ration, pas de boussole, rien, en fait, il allait presque chasser en touriste. Il nota tout ce qu’il lui manquait, pour aller l’acheter prochainement, saleté de dimanche, tout est toujours fermé ce stupide jour-là. Depuis quand fête-t’on Jésus dans une ville de comme celle-ci ? C’était absurde.
Il rangea le couteau dans sa poche et prit son glaive ainsi que son fourreau à la main, s’enfonçant aussi silencieusement que possible dans la forêt, à la recherche de gibier ou autre connerie qu’il pourrait ramener chez lui et déguster. Un ours par exemple, pourquoi pas ? Les recherches furent infructueuses deux heures durant, ce qui vint « rapidement » à bout de la patience du jeune démon, ils les entendaient fuir avant même d’avoir pu les voir, c’était des plus rageant, des plus frustrant. Et la frustration était quelque chose qu’il ne savait pas géré, pas du tout. Sa patience perdu, William se déshabilla et laissa ses vêtements à terre, prenant avec lui seulement son couteau après avoir réussi à faire un sac improvisé avec son sweet et attaché le tout à une branche. L’on ne sait jamais si quelqu’un d’autre passe par là ou si un animal stupide s’amuse à déféquer sur ses vêtements ou a les éparpiller partout… Il sentait la brise fraiche sur son corps, et ce n’était pas des plus agréable, il faisait plutôt froid le matin, vers les 8 heures désormais. Pas de quoi geler sur place, mais nu c’était une autre histoire quand même. William se craqua la nuque, puis s’étira, il se sentait bien, en harmonie avec soi-même et la nature.
Qu’il est bon de pouvoir se rendre invisible n’est-ce pas ? De disparaitre, de ne plus être des leurs. Être invisible, c’est un peu comme être dans une autre dimension, vous êtes là, mais personne ne le voit.
William eu nettement moins de difficulté à trouver une proie, et fut enfin sur une piste digne de ce nom ! Il avait réellement pris en chasse quelque chose, un sanglier. Son cœur battait à vive allure, si jamais il prenait un mauvais coup, ou un coup mal placé, s’en était fini. Il n’avait encore jamais cherché si il y’avait un médecin qui savait recoller les bouts dans cette ville, et perdre un membre lui serait une chose insupportable, encore plus en fonction du membre perdu. Il s’approcha du sanglier à pas feutré, ne faisant plus qu’un avec le décor.
Boom, le choc fut douloureux, qui diable l’avait vue ? Ce n’était pas possible. Personne ne l’avait jamais vue. Certain avait cru avoir ressenti sa présence, mais personne n’avait jamais su ou il se trouvait exactement. Lui-même ne voyait pas ses membres. Peut-être le couteau qu’il tenait l’avait trahit ? Mais qui arriverait a remarquer un couteau volant dans un environnement tel que celui-ci ! C’était inconcevable. William tomba sous le choc, et compris au bruit que son agresseur était tombé lui aussi. Il n’attendit pas une seconde de plus et monta sur son adversaire, s’assurant d’avoir bloqué son bras droit à l’aide de son tibia gauche ainsi que son bras droit à l’aide de son pied, ayant alors un genou à terre et étant a moitié accroupi. Il lui agrippa le cou de sa main libre, sa peau touchant la sienne, son ‘camouflage’ pris fin et le jeune homme fut à nouveau visible de tous et de toute. Il appuya fermement à la commissure entre sa mâchoire et son oreille, de manière à appuyer sur le nerf caché là-bas. Il arma le bras en tendant la lame de son arme vers le visage de la jeune fille et demanda sur un ton autoritaire « Que fais-tu ici ?! Comment m’as-tu vu ?! » Il relâcha légèrement sa prise sur sa gorge, se faisait toujours douloureux, mais la laissant parler. Le pire était passé désormais qu’il avait en partie relâché son nerf, et la douleur devait désormais être dérangeante, mais largement supportable. Le jeune homme athlétique n’avait que faire d’être nu sous ses yeux, de dévoiler sa peau, ses muscles, et ce dont il était fait. A cet instant, c’était vivre ou mourir.
Sale alcoolique psychopathe. T’es juste un putain de gros con alcoolique devenue paranoïaque.
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Mer 29 Oct - 21:08
Dernière édition par Jennyfer Definder le Jeu 30 Oct - 19:51, édité 6 fois (Raison : Ya un truc de mon code qui casse le forum je cherche de le trouver)
Invité Invité
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Jeu 30 Oct - 2:50
( il lui bloque les bras au niveau des biceps ! n_n)
Des pleurs et des questions depuis que tu as déserté Je ravale ma fierté jusqu’à l’indigestion.
Déroutante. Voilà la première pensé qu’il eut de la jeune fille. Pourquoi parlait-elle ainsi pour ne rien dire ? A cette allure là il allait perdre patience. William prit conscience de l’innocence de la jeune fille après coup, et se sentait navré d’avoir réagi de la sorte. Néanmoins, il n’aimait pas la manière qu’elle avait de dire les choses. Certes il l’avait brusqué, mais c’était elle qui lui été rentré dedans ! Il lui agrippa la mâchoire avant de la repousser vers le haut, la forçant à lever le visage afin de l’empêcher de bouger. Il posa la lame de son tranchelard contre la joue de la jeune fille et appuya ci-contre.
« Calme tes manière jeune fille ou tu regretteras ton zèle toute ta vie. »
Tel furent les mots de William, le jeune homme se montrant plus menaçant que jamais. Il leva finalement la lame afin de l’écarter de sa peau, et la rangea en appuyant sur le bouton du couteau automatique. Il observa la jeune fille avec délectation, tellement qu’il ne put cacher le changement d’état qu’adopter sa partie inférieur, pourquoi diable avait-il quitté ses vêtement. Il tendit une main pour lui caresser la joue du revers de celle-ci, et s’exclama d’une voix nettement plus calme et moins vindicative
« Je suis navré que vous m’ayez percuté, mais j’ai un don particulier, qui fais que vous ne m’auriez vue. J’ai un instant cru que vous m’aviez vue, et c’est pour cette raison que j’ai paniqué et que nous en sommes là. »
William prenait un malin plaisir à être au-dessus d’elle, à la contraindre dans ses libertés de mouvement, cela l’excitait. Il expira longuement, suavement, se frottant les yeux tout en réfléchissant, analysant la tenue vestimentaire de la jeune fille d’un bref coup d’œil. Pourquoi diable venir courir ici ?... Le jeune homme comprenait peu à peu qu’il avait réagi au millième de tour et qu’il s’était beaucoup trop emporté. Mais elle lui été rentré dans le dos si violement… Il avait pris cela comme une agression, tout simplement. Venait désormais à la conclusion logique : la tuer ou non ? Non, elle ne mériter pas de mourir pour si peu, mais il devait s’assurer à ce qu’elle n’attente pas à sa santé physique à nouveau. Il n’avait nullement l’intention de la laisser lui faire du mal. William lui caressa la joue de son pouce, souriant doucement, essayant renouer le dialogue en se faisant plus amicale, tentant de lui faire comprendre que la suite des négociations ne pouvait pas se faire sans elle. Inspirant longuement, il demanda alors à la jeune fille :
« Si je te relâche, tu ne comptes pas tenter quoi que ce soit visant à me meurtrir ? »
Il posait la question avec douceur, mais était pleinement sérieux. Si il devait la tuer, il préférait encore que ce soit maintenant, lorsqu’il avait le dessus. Et rien que l’idée d’avoir la vie de la jeune fille entre ses mains, l’excité d’autant plus, offrant une vision un peu pathétique de l’homme qu’il était: son membre en pleine turgescence dans une situation telle que celle-là.
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Dim 2 Nov - 8:43
Invité Invité
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Mar 4 Nov - 22:50
Une nuit dans ses rêves, elle le visita Et lui demanda: "Dieu est-il plus fort que toi?" Lui offrit un coffre renfermant tous les malheurs Et lui insuffla la haine et l'envie dans le cœur
William n’éprouvait aucune honte ou gène à dévoiler sa stature, les moindres recoins de son anatomie. Son regard plongé dans le sien, il l’avait vue l’observer. Admirait-elle son physique athlétique ou bien cherchait-elle un point faible à portée de main ? Il ne savait.
Il s’attarda longuement à la réflexion, calculant toute les possibilités qui s’offraient à lui à cet instant précis. Devait-elle mourir ? Ou étais-ce une sentence bien trop cruelle et surestimé. Il ne savait exactement que penser, mais il était conscient que la mort n’était pas requise pour ce complexe-là. Elle n’avait pas vue grand-chose, et personne ne la croirait si dans tous les cas elle criait son pouvoir sur tous les toits. Car personne ne crois ce qu’il ne voit pas et qui est du domaine du réel. Dieu c’est facile d’y croire, il n’existe pas. Donc on peut l’imaginer par tout. Mais allez imaginer quelque chose qui existe mais qui n’est pas là. Amusant, c’est-ce pas ?
"Lâche moi, je ne te ferais rien. " Que de douceur dans ces quelques mots. Un ton neutre, aucune expression, elle n’était pas vraiment convaincante la petite… Et sa neutralité confortait sa logique vicieuse. Tue là, elle te mens. Elle te ment. Sinon elle ne dirait pas cela, car ça n’a pas de sens de dire cela lorsqu’on sent qu’on va mourir. Elle n’a pas peur, donc elle est folle. Mais peut-être était-ce une feinte ? Peut-être feintait-elle justement la neutralité afin de ne pas le brusquer, de ne pas l’irriter, ou de l’irriter de par sa neutralité. Non, elle ne l’irriterait pas par sa neutralité abjecte. Il ne se laisserait pas berner comme cela. Il sentait les spasmes de la jeune filles, sous ses pieds, sous ses doigts, sous ses yeux. Elle crevait de peur, ou de froid, au choix. Il n’empêche qu’elle tremblait, peut-être un peu trop même.
William caressa faiblement sa peau lorsqu’il retirait sa main de son cou, la relâchant à contrecœur tandis qu’il avait pris sa décision. Jusqu’au moment où il vit une pierre derrière la jeune fille sauter. Quelle était cette sorcellerie ? Dans un sens, elle avait eu un cul pas possible. Et je ne fais pas référence au fessier que possédait la jeune fille, mais à sa chance. L’anomalie avait stupéfié le jeune homme et lui avait ôté toute envie morbide. Elle allait vivre.
Le jeune démon enleva son pied de son bras gauche et levier son tibia de son bras droit, la libérant alors tandis qu’il se relevait et se dégageait d’elle. Le jeune homme fit disparaitre le bas de son corps, celui-ci n’étant plus visible des orteils jusqu’au-dessus de ses organes génitaux. Il observa la jeune fille d’un air intriguer.
« Etes-ce votre faute ? » Demanda-t’il d’un ton curieux, il n’avait nullement peur de sa réaction face à l’être singulier qu’il était, qu’elle pouvait voir. Car après tout, il pouvait toujours se rendre entièrement invisible, et là, la tuer serait un jeu d’enfant.
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Mer 5 Nov - 7:25
Invité Invité
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Lun 10 Nov - 0:58
William était stupéfait par le manque de logique dont faisait preuve la jeune fille. Tous ces gestes et tous ces dires manquaient de sens à ses yeux, comme si elle agissait et parlait de manière aléatoire, sans but propre. Au moins, elle n’avait pas l’air troublé par sa particularité, cela avait le don de l’intriguer. Le jeune homme était du genre… à être aimanté par tout ce qui ne suivait pas une logique propre à celle qu’il avait défini pour un personnage lambda. Et tout ce qui l’aimanté avait le don de changer ses humeurs tel un champ magnétique attirant un métal ferromagnétique.
Ne lui était-il toujours pas venue à l’idée que même si elle s’en allait, rien ne lui assurerais qu’il ne soit pas derrière elle ? Qui sait, peut-être prendrait-il un malin plaisir à admirer ses petites fesses en toute impunité. Le jeune homme écarta sa personne pour mieux la laisser se relever, tiquant face à ses questions, elle avait tellement l’air ailleurs, vide. Et n’avais l’air de n’avoir aucune autre envie que de partir. Se sentait-elle humilié à ce point pour n’éprouver que l’envie de fuir ? C’était… affolant, presque dégradant. Et pourquoi diable courir ici ? Surement pour s’assurer qu’elle ne sentirait aucun œil se poser sur elle. Pourquoi diable voulait elle à ce point disparaître… Surtout sans avoir le courage de se faire disparaître.
« Peu bavarde, fuyarde, seule. Vous savez, vous aurez beau fuir, cela vous rattrapera toujours. Henri Laborit à scientifiquement prouvé que face au stress, l’organisme n’a de cesse de vouloir fuir pour en échapper, à défaut d’avoir le courage d’affronter la nature de ce stress. Néanmoins, l’affrontement est la seule chose qui permet d’évincer le stress à la racine. Soit dit en passant. Vous êtes libre d’aller ou bon vous semble, dans tous les cas vous ne saurez pas si je vous suis ou pas. »
Le ton était donné, il se permettait de jugé la jeune fille à ses premiers abords, il avait fait une constatation de surface, elle cherchait à fuir, mais pourquoi ? Cette question-là était bien plus intéressante, bien plus préoccupante. Et la réponse allait surement être beaucoup plus jouissive. Était-ce dû à un évènement passé ? Ou à quelque chose qu’elle cache ? Sur son corps ou dans ses poches ? Peut-être à-t-elle une grosse somme d’argent sur elle ? Non, elle aurait un sac sinon. Peut-être un objet singulier alors… Beaucoup trop de peut-être, il voulait des réponses.
« Non, je ne vous vois pas comme une menace, et je ne souhaite pas que vous vous retiriez, pas tant que je ne saurais pas ce qui vous fais éprouver cette profonde envie de fuir. Certes, je vous ai brusqué aux premiers abords… Mais j’ai prouvé que ce n’était qu’un malentendu. Alors pourquoi cette envie beaucoup trop pressante de partir ? Mon corps était-il si délicieux à regarder que vous vous êtes senti immonde ? Vous ne l’êtes pourtant pas. »
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Jeu 13 Nov - 20:27
Invité Invité
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Dim 23 Nov - 11:47
Elle se plaignait qu’il ne faisait que parler, mais elle n’était pas non plus exempt de tout reproche, elle nourrissait son dialogue sans vergogne la bougre. Mais ces mots sonnaient creux à son gout. Il ne ressortait rien des dires de la jeune fille, les trois quart étaient des informations inutiles, ou du pipeau. Rien d’intéressant. C’est à cet effet qu’il devait redoubler d’effort afin de lui tirer les vers du nez. Et s’en était presque agaçant. Non, il n’était pas son bourreau désormais, ou plus. William s’approcha d’elle d’un pas, lui caressant la joue d’un revers de la main, ne sachant pas vraiment pourquoi il avait de telles envie, mais il le voulait, et s’en donnait les moyens. Il se racla alors la gorge, prenant la peine de répondre à ses questions sur un ton autoritaire. Elle aurait beau le prendre de haut avec ses questions, c’était lui qui était maitre de la situation. Ou du moins, il voulait s’en persuader.
« Et vous ? Ne cessez-vous jamais d’être irrespectueuse ? Je me suis excusé pour précédemment, cessez de m’accabler avec vos réflexion inutile. Je parle deux plombes aux inconnus si j’en ai envie. Et je vous rappelle que c’est vous qui m’êtes rentré dedans. Donc la madame elle va se calmer. Et de toute façon si t’es pas contente, fuit, fuit, si ça t’amuse de perdre ton temps et ta vie à fuir, fuit. Un jour, tu te rendras bien compte que pour être heureux, il faut cesser de se demander ce qu’on va fuir en se levant le matin. Mais peu importe. Tu ne dois même pas comprendre ce que je te dis. Tu dois être trop occupé à réfléchir à comment fuir plutôt qu’a m’écouter.
Il riait intérieurement des piques qu’il lui lançait, à dire vrai, ça l’amusait. Non pas qu’il ne l’aimait pas, mais il n’aimait pas être la cible de ces mots, alors il lui rendait la pareille. Lui aussi pouvait être désagréable au possible. William perdait néanmoins patience, elle n’était pas réellement divertissante. Il tourna les talons, lui n’ayant pas réellement froid, il sentait ses extrémités engourdies, mais avait la chance d’être pourvu d’une constitution robuste. Ou peut-être était-ce de par son pouvoir.
- Je vais chasser, libre à toi de faire ce qu’il te plaît.
Il la laissait finalement, comme elle lui demandait depuis le début de leur dialogue, lui laissant le choix de la suivre ou non. Apres tout, qui se ressemble s’assemble. Cela doit aussi être valable pour les monstres. Il cessa d’être invisible, de toute manière il n’y avait surement plus aucune animal à côté, et il préférer offrir son musclé petit derrière aux yeux de la jeune fille plutôt que de se fatiguer inutilement.
Sujet: Re: Pardon mais c'est trop bon... Jeu 1 Jan - 13:49
Pardon, mais c'est trop bon... ▲ RP TERMINÉ
Un petit rp sympathoche, bravo à tous les deux. C'est un peu dommage, j'arrive pas vraiment à compatir avec le personnage de Jenny, j'ai plus envie de lui coller des baffes (rien de personnel hein ♥). Pour Will, bah, il porte bien son nom /PAN/ et ça créé un contraste intéressant entre les deux du coup. Mais je suis un peu déçue, les piques tombent dans le vide, il ne se passe pas grand chose au final. S'il suite il y a, l'a intérêt de roxxer du poney !