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 April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.

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MessageSujet: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeJeu 16 Oct - 19:25


April Laurianne Aaron




Who are you ?

─ Informations sur ton personnage ─

• Prénom : April Laurianne
• Nom : Aaron
• Âge : 19 ans en apparence. 921 ans en âge réel.
• Sexe : Jeune femme
• Race : Esprit
• Orientation : Pansexuelle
• Occupation : Etudiante fantôme. Egalement peintre à ses heures perdues. 
• Animal de compagnie : Elle possède un chaton recueillit dans la rue. Elle l'a trouvé durant une journée d'hiver. Elle l'apprécie car étant faible, elle le protège. Un sentiment comme celui ci est appréciable et fait chaud au cœur.

• Pouvoir (ou Programmation pour les Androïdes): Manipulation Gravitationnelle
Description du pouvoir : Qu'est-ce que la gravité ? Une force physique qui exerce une pression qui attire toute forme physique vers sa source. Du moins, si l'on en croit certaines définitions circulant ici et là. Un mot compliqué. Synonyme de vide. D'étoiles. D'infini. Longtemps, ce mot est resté un mystère, attisant la curiosité des plus instruits. Faisant tendre l'oreille des curieux. Pourtant, aujourd'hui peu de gens savent ce que ce mot signifie. L'attribuant à des théorèmes, des noms et autre lien pouvant se faire avec des mots de tous les jours. Les synonymes de ces quelques lettres donnent en général une impression d'innascicibilité. D'intelligence. De différence. Un mot fort peu agréable à entendre. Amethyste n'a jamais vraiment cherché la définition de ce mot. N'yant même jamais cherché à en comprendre le réel sens. Pourtant. Certaines vérités tombent sur notre tête sans raison un jour de pluie. Une pluie douce, et réconfortante. Elle se souvient de ce jour. Le jour où ce don qu'elle avait reçu de notre seigneur prit tout son sens. Longtemps, elle avait appelé cela télékinésie. Lévitation. Mot courant, définissant au mieux cette forme invisible qu'elle appelait pouvoir. Se manifestant de temps à autre comme des palpitations. Un bruit. Des verres qui tremblent. Rien de plus, rien de moins. Pourtant, pendant un de ces innombrables jours de pluie. Armé seulement d'une écharpe. Laissant s'échapper à chaque respiration une fine buée s'évaporant dans l'air telle une fumée pure. Envahi d'une colère quant à ce mauvais temps. L'eau s'écrasant lentement sous ses semelles usées. Balançant la main vers le côté pour faire s'échapper les quelques gouttes sur sa peau trempée. Dans une de ces ruelles sombres où aucun chat n'ose braver ses pénombres. La pluie s'arrêtant, aussi brutalement quelle était venue. Pourtant, le bruit de l'eau rebondissant sur ses dédales de pierres parvient encore à ses oreilles rougies. Ses yeux s'élèvent vers le ciel grisâtre. Les gouttes ne tombent plus sur le sol, mais vers les nuages qui voilent le monde dans lequel elle se trouve. Pourtant, aucune peur ne vint s'installer dans ses yeux à ce moment-là. Haussant simplement ses épaules alourdies par la fatigue. Don. Ce mot sonnait plutôt comme un glas de terreur dans ses tympans. Lentement, les règles sont venues délimiter une barrière entre ses désirs et ses capacités. Le temps ne la rattrapant pas dans sa course effrénée. Mais, le poids oui. Certains objets ayant une masse trop importante la bloquent. Ne réussissant qu'à les faire trembler, ou léviter à quelques centimètres du sol. Quant à la limite de la longueur. Elle forme une bulle autour d'elle. S'agrandissant lorsque certains de ses sentiments prennent le dessus. Mais, soyons raisonnable. Fixons une moyenne de 5 mètres. 10 lorsque un sentiment profond l'envahi. Elle peut cependant étirer ces 5 mètres en une ligne droite. Ou alors en faire le déplacer d'elle vers un autre endroit. Dans tous les cas, une bulle d'1 mètre la protège en permanence. L'un des points négatifs de ce don est sans doute les mots de têtes. En permanence. La fatigue constante. Les saignements de nez fréquents. Et les malaises permanant. Les terreurs nocturnes, également. Personne ne sait pourquoi, mais ce pouvoir à tendance à lui donner des hallucinations pendant la nuit. Ce don qu'elle considère comme peut enviable est pourtant un pouvoir puissant. Malheureusement, elle s'en fiche éperdument. L'utilisant simplement pour ne plus à avoir à se déplacer à travers ce qui lui sert de maison.


─ Information sur toi ─

• P'tit nom/pseudo : Fangirl Noragami
• Ton âge :  Licorne
• Garçon ou fille ? Licorne
• Comment as-tu connu le forum ? Je parcourrai l'espace sur les arcs en ciel que chiaient ma licorne
• Comment le trouves-tu ? Licorne !
• Tu vis où ? Licorne
• Tes passions : Licorne
• Ta couleur préférée : Licorne
• Ton trait de caractère dominant ? Licorne
• Un dernier mot ? PONEY
• Le merveilleux et fantastique code : WTF le code.


Description physique & mentale

Certaines personnes préfèrent passer du temps devant un cours d'eau. Écoutez le bruit de l'eau qui s'écoule, assis sur un banc les yeux rivés sur les nuages défilent. Vous vous levez, et décidez d'aller regarder les poissons nager. Vous vous penchez, en regardant les carpes et loups nageant paisiblement dans la rivière. Bon enfant que vous êtes, vous secouez légèrement la main dans l'eau pour casser ce cours d'eau si tranquille. Vous suivez doucement les ondulations de l'eau, avant d'arriver devant une personne. Son image est troublée par vos ondulations, vous réussissez tout juste à deviner que c'est une femme. Vous relevez la tête, cherchant du regard cette inconnue, vos yeux parcourent la rive d'en face, qui se trouve à quelques mètres et que l'on peut aisément traverser à pied. Vos yeux s'écarquillent, vous voyez devant vous une jeune femme regardant comme vous l'eau s'écouler, mais elle est immobile. Les gouttes sur votre main provoquent un bruit sourd, et vous retrouvez subitement la raison. Le cours d'eau est redevenue normal, mais la femme est toujours là, les yeux river sur la rivière. Vous ne pouvez distinguer qu'une partie de son visage, le reste est caché par l'obscurité de la forêt. Son corps est difficilement reconnaissable, vu qu'elle est accroupie. Vous regardez le soleil, avant de reporter l'attention sur votre très cher inconnue. La couleur. La couleur, la robe de ses cheveux. Ils sont d'or, de la même couleur que le soleil qui les fait d'ailleurs resplendir sous sa lumière. Doré. Blond. Soleil. Une jolie couleur, la même que le blé qui poussent dans les champs avoisinant ce petit parc. De la même couleur que l'or sur les bagues des mariés. De la même couleur que les doux rayons du soleil. La couleur de ses cheveux tire entre le vénitien et un blond presque transparent. Étrange, mais tout aussi captivant que la personne en elle-même. Ses longs cheveux dorés trempent légèrement dans l'eau, ils sont longs. N'importe quelle petite fille aurait déjà comparé cette jeune femme à une princesse de conte de fées, la très célèbre Raiponce. Oui, de longs cheveux d'or qui encadrent tout son corps, lui donnant l'air d'être entouré d'un châle. Cela vous laisse imaginer la longueur, à peu près au niveau des chevilles, si ce n'est plus.

Trop long pour beaucoup, mais c'est une des choses qui nous captivent lorsqu'on la croise. Si vous regardez plus attentivement, vous pouvez voir un léger dégradé. Pour la couleur aussi si vous regardez plus intensément, vers la fin des mèches, ils tirent légèrement vers le blond foncé. Splendide, dirait un coiffeur ! Une couleur comme celle-ci est peu commune. Sur la rive où vous vous trouvez, vous pouvez discerner légèrement une frange, plus une mèche qu'autre chose. Plusieurs mèches sont rassemblaient pour cacher légèrement son œil, certain dirait que c'est un style mystérieux, d'autre rock ou punk. Mais revenons en à sa mèche, une mèche plus fine, beaucoup plus fine vient se séparer du groupe et tombe légèrement à côté du nez. Le reste cache son oreille, cachant elle-même une boucle d'oreille en forme de fleurs. Une tulipe, pour la forme, rouge pour la couleur, avec un diamant discret sur une des pétales. Nous y reviendrons plus tard. Sa chevelure semble laquée sans l'être, aucune mèche rebelle ne vient perturber la ligne de séparation entre elle et le reste. Une coiffure parfaite, sans la moindre perturbation, étrange, mais tout aussi captivante. De simple détailles qui font pourtant toute la différence. La dernière chose étrange avec ces cheveux, et qu'ils sont bouclés et pourtant lisses. Vers le niveau des genoux, ils remontent un peu, laissant place à une chevelure des plus bouclés. Et, les dernières mèches ne forment pas une seule et une unique chevelure, non, elles se séparent bien distinctement les uns des autres, défiant à nouveau toutes lois capillaires. La fin de ces mèches est donc bouclée, et le dessus lisse. Une jolie chevelure, défiant toutes lois, n'est-ce pas ? Passons maintenant à son visage, ou du moins, la partie qui vous est visible. Une forme, adulte et en même temps adolescente. Une forme de visage des plus uniques, du moins pour la personne d'ont le milieu de la mode est inconnue. Lorsqu'on atteint l'âge de la puberté, les jours grassouillets partent pour laisser place à un visage en forme de cœur. Et, de cette forme, les adultes partent sur une forme plus rectangulaire, plus fine, plus adultes. Et bien, son visage est triangulaire, mais les quelques traces de cœur sont encore présentes, peu flagrantes, mais présentes. La bouche que vous voyez est entrouverte est comme ahurie devant la rivière, et devant de majesté à l'encontre de ces poissons frétillants. De belles lèvres, charnues, et parfaitement accordé à ce visage. D'une couleur rose, rose pâle, ou bouton de rose. Légèrement craquelées, sans doute à cause de froid soudain, et légèrement brillante, signe de présence d'un soin pour les lèvres.

Le fait quelle soit entrouverte laisse également transparaître une parfaite rangée de dents blanches. Sans doute, l'œuvre d'un appareil dentaire, ou autre gadget disposé sur ses os par un médecin confirmé. Et, une langue, rose, et légèrement couverte de salive, vous fixez légèrement ce muscle, avant de secouer la tête. Un nez, fin, et légèrement retroussé, laissant également apparaître quelques légères traces de taches de rousseur, lui donnant un aspect enfantin tout en étant adulte. Des narines plutôt fines, et une légère marque de varicelle, invisible pour celui ne faisant point attention au détail. Un rose. Rose transparent, fluide avec une opacité des plus faibles. Se fondant parfaitement sur ses joues, entre l'adulte et l'enfance. De ce que vous pouvez voir, sa peau ne présente aucun bouton, ni aucune imperfection. Passons maintenant à sa peau. Pâle. Oui, elle pâle, et le soleil se reflète dessus laissant transparaitre la même pâleur que la lune. Les quelques rayons de soleil qui arrivent à filtrer laissent transparaître une peau blanche, et pourtant bronzé. Encore une chose étrange dans cette jeune fille, le soleil fonce sa peau, mais au naturel, elle est plutôt pâle tout en étant bronzé. Vous regardez à présent son corps, un corps accroupit ne se laissant pas totalement voir. Elle porte une robe blanche, mouillée coulant sur sa peau, et légèrement transparente. Elle possède une ossature étrange, disons, parfaite. La perfection n'existe pas, c'est qui vous traverse l'esprit, pourtant, elle est là. Des courbes parfaitement accordées, oui, une taille fine. Vous vous dites qu'elle n'est pas anorexique, loin de là, elle est tout simplement fine. Vous voyez des hanches simples, capables de rentrer dans n'importe quels jeans. Un ventre plat, et un nombril rentré qui est visible sous cette robe mouillée. Puis, votre regard tombe sur ses jambes. Elles aussi sont fines, il y a bien évidemment une trace légère de graisse sur ses cuisses. C'est normal, elle possède des mollets avec une trace de musculature.

Une de ses chevilles est tatouée. Une branche de cerisier qui remonte de la base de son pied à la hauteur de ses chevilles. De votre regard expert, ou avec l'aide d'un cordonnier, vous pouvez aisément deviner qu'elle chausse du 42. Une poitrine compressée par ses cuisses, mais, de votre instinct primaire d'homme, vous devinez également que c'est un bonnet E. Parfaitement équilibré, ils ne tombent pas, ils sont parfaitement accordés à son corps. Votre regard s'y attarde, la peau blanche resplendit sur les traces de sa poitrine. La chemise blanche mouillée laisse transparaître un téton couleur café. Votre regard de pervers remonte vers la jeune fille, qui à présent, vous fixe. Puis, vous retenez votre souffle. Son regard, est splendide. Des yeux fins, lui donnant un air des plus sérieuse, ou celui d'une justicière, bien qu'ils soient écarquillés. Puis, vous regardez ce rond, tranchant avec le blanc du globe oculaire et du rouge des quelques fils qui parcourent ce blanc. Les contours de l'iris sont foncés, le parfait milieu entre le bleu et le violet. La pupille est d'un noir jais. Lorsque que la colère s'empare d'elle, ses pupilles prennent la forme de celle d'un chat. Vous n'oublierez jamais cette rencontre, car, sur son front, se trouvait une petite perle semblable à ceux que portent des princesses. Ils ne sont pas permanents bien sûr, mais cela lui donne une certaine apparence féerique. Par ailleurs, ces oreilles sont ornées de trois bijoux chacun. La tulipe rosée ornée d'un diamant bleu, un diamant simple, transparent et discret. Ainsi qu'une courte chaîne, qui part de la base de son lobe pour remonter jusqu'au milieu de son oreille. Lui donnant d'avantage une apparence féerique. Vous avez fait des recherches, et vous avez trouvé certains dossiers. Avec une photo d'elle, montrant une tenue des plus légères. Le haut d'un maillot, visible. Ses épaules simplement recouvertes d'une veste de cuir. Un short en jeans ainsi que de longues bottes. Une casquette de policier couvrant son œil déjà caché par la mèche. Elle possède une garde de robe assez large. Allant à des beaux chemisiers, en passant par des robes et des tenues plus sublimes les unes que les autres. Au fur et à mesure de vos recherches, vous trouvez des photos d'elle, mais malgré les années passantes, son visage ne change guère, ses traits ne vieillissent pas, et restent toujours les mêmes. Puis, après vos maintes recherches, vous avez soudainement compris qu'elle possédait les traits d'une Russe. Une russe sublime par ailleurs. Les traits délicats d'une poupée de porcelaine. Vous avez abandonné, oui, abandonné l'espoir de la revoir un jour. Car aussitôt que vos regards se sont croisés, elle s'est relevée, la robe collante laissant transparaître quelques parties de sa peau nue. Puis, elle a disparu dans les bois. À présent, vous vous contentez de contempler le souvenir de votre brève rencontre.

Mais n'auriez-vous pas oublié l'une des choses les plus importantes ? Je parle de l'ossature bien sûr ! Elle possède une ossature parfaite. Qui lui confère une grande taille. Un simple 1M70, plutôt grand pour une femme, une taille de mannequin sans doute. Puis, au fil des photos, sa vie défilent, et vous commencez à faire certaines hypothèses au niveau de la composition de son corps. Cette dernière est chimique, est, défie toutes les lois de la science établie jusqu'ici par des experts. Elle ne peut prendre aucun kilo, c'est impossible, son corps est une coque en lui-même. Il accumule, stock, mais ne grandis jamais. Les images défilent, puis vous voyez qu'aucune marque de vieillesse ne viennent perturber ce corps, qui de vos yeux éperdument amoureux, est parfait. Oui, vous cherchez, vous fouinez, puis tracez un parcours existentiel. Les débuts en Russie, top modèle pour une marque peu connue pendant quelques mois, puis, trainant ici et là comme une vagabonde. Robe de cocktail, et accompagnement par des hommes. Pourtant, aucun sourire, seulement un air triste. Puis, vous tombez sur une photo, la seule différente, la seule qui vous frappent par tant de beautés. Elle est assise devant un cours d'eau, regarde l'objectif et décroche un simple sourire. Qui pourtant illumine son visage par tant de splendeurs. Oui, cette fois-ci, ces yeux sont fermées, et une maigre trace de cerne ce fait voir. Un sourire parfait, une rangée de dents parfaitement blanches et de longueurs similaires sur chacune de ces petites merveilles gustatives se fait voir. Sa bouche est élargie, et ses lèvres rose pâle ont adopté un rouge framboise séduisant. Elle parait plus jeune, plus enfantine. Ce n'est pas sa véritable personnalité, vous en n'êtes bien conscient. Puis, une autre image, dans les rues animées de Moscou cette fois-ci, un bonnet cachant sa petite bouille, nouveau sourire, mais gênée cette fois-ci. Un rouge montant aux joues est visible, et la trace de ses sourcils est clairement visible comme étant peu sérieuse. Elle tire vaguement la langue, mais cela ne vous suffit pas. Les photos défilent, montrant une femme de plus en plus sûre de soi, jusqu'à arriver devant une femme sérieuse, la même qu'il a vue. 19 ans, tant de maturités sur un visage à seulement 19 ans. C'est ce qui vous fascine le plus, que vous regardez, fixez et admirez. Puis, sur la fenêtre menant dehors, vous la voyez. Passant devant vous, de votre âme amoureuse, vous courrez, poursuivant cette ravissante créature. Puis, vous l'abordez, de manière peu galante. Mais, vous récoltez simplement une claque, laissant voir sous le poignet un autre tatouage, avec des motifs japonais.

Puis, vous remarquez une cicatrice se fondant plus bien sur sa peau, invisible pour tous, mais pas pour vous. Une cicatrice, partant en diagonale d'une de ses épaules, vos souvenirs sont flous, pour descendre se perdre derrière ses vêtements. Puis, un oubli. Blanc. Il n'y a que cette nuance autour de vous.



Recommencement. Le même et éternel recommencement. Sa vie est une boucle infinie. Les mêmes rituels, les mêmes courses. Sa vie n'est devenue qu'un éternel soupir et une seule et unique question. Et si ? L'histoire ne se refait pas avec des si. Mais, ce mot, cette syllabe aurait pu changer tellement de choses dans la vie des gens. Et sa vie en fait partit. Souvent, elle se pose près d'une fenêtre contemplant le ciel bleu et se demande. Tente de trouver des réponses qui ne sont hélas pas à sa porté. Beaucoup auraient pleuré, de frustration. De colère. D'incompréhension. Pourquoi ? Pourquoi ? Cette question résonne dans tout son être. Mal. Douleur. Elle voudrait comprendre. Ne serait-elle qu'une bête sans cœur ? Dont la seule raison de vivre et de regarder celle des autres ? Se battant contre d'autres monstres. Ne restant qu'un simple pion. Elle gagne, elle perd. Dans tous les cas, elle réussit à s'enfuir. La colère s'emparant doucement de son être, de son humanité. Monstre. Au final, elle n'est pas si différente de ceux qu'elle jalouse . Elle s'y compare si souvent qu'elle a fini par ressentir une pointe d'empathie lorsqu'elle désire tuer. Des gens victimes d'une simple jalousie. Il lui arrive de tuer des choses dont elle ne connaît même pas l'origine. Elle avait le choix. Elle aurait pu choisir une vie digne de ce nom. Une vie faite comme n'importe quelle personne censée sur ce bas monde. Une vie monotone. Paisible. Ne remettant jamais en doute la société ni le monde absurde dans lequel ils se trouvent. Une vie ordinaire. La vie étant rythmée par les amis, les amourettes, les cours. Tout ceci est révolu. Elle ne se souvient même pas avoir eu un jour une vie pouvant ressembler de près ou de loin à celle-ci. Elle s'est toujours enfermée dans la certitude que cette vie était unique, et que jamais elle ne pourra regretter son choix. Mais au final, qui est-elle vraiment ? Où plutôt, qui était-elle vraiment ? Aussi loin qu'elle s'en souvienne. Elle a toujours été le vilain petit canard. L'être rejeté. Solitaire. Abandonné. Celle disparaissant pour réapparaître tachée de sang. Le visage vide. Rejeté. Frappé. Celui qui était différent des autres. C'est une des choses auxquelles elle s'identifie. Et puis, elle est la seule à avoir des absences. Des moments douloureux. Perdre le contrôle de soi-même et sombrer lentement dans les ténèbres n'étant que la simple spectatrice d'elle-même. Elle ne tue pas par plaisir. Elle se demande même si elle a déjà tué. Elle a combattu pour un oui ou un non. Certaines fois, elle se demande comment y remédier, comment échapper à cette roue infernale ? Celle de l'incompréhension, celle de l'incompréhension de son comportement. Il est dit que notre comportement, notre manière d'agir, nos souhaits et nos rêves les plus chers nous viennent de notre enfance. C'est cette période de notre vie qui nous forge, nous indiquent nos choix et dictent notre conduite. Belle parole, bien que fausse. Il est existe des milliers de possibilités d'univers, de futurs, de nous différents éparpillés dans diverses dimensions semblables à la nôtre avec certains changements, que ce soit au niveau culturel et historique que du point de vue des ressources naturelles. Le monde dans lequel nous vivons actuellement est pourvu de quelque chose d'exceptionnel , c'est un monde où chacun peut décider de sa route, de son destin. C'est un monde où il est possible de changer son destin, et c'est un des rares mondes d'ailleurs. Imaginez-vous que quelqu'un, vous, mais avec une autre histoire, une autre personnalité, un autre monde, est en train de faire la même chose que vous, mais différemment, c'est étrange n'est-ce pas ? Qui n'a jamais rêvé d'avoir un soi qui est heureux, sans soucis, se dire qu'il existe un, vous bien, et qui aime vivre. April, du moins du nom que vous connaissez, en est l'exemple parfait. Elle rêve, de pouvoir voyager dans un de ces mondes où elle pourrait être heureuse, libre, et sans soucis. Quand je vous disais que le passé joue grandement sur notre futur, nos actes, nos choix, et notre destin. La joie est égoïste, pourquoi seule certaine personne pourrait mener une vie sans verser une seule larme ? Égoïste. La jalousie de ce genre de sentiments et chose courante, April en a fait les frais. Comme beaucoup de personnes, elle n'a pas eu une enfance heureuse, mais une chose rend son passé plus triste : L'incompréhension. Elle n'a jamais compris, les actes, les choix, ce qui a fait ce qu'elle est devenue aujourd'hui et ce qu'elle sera pour toujours. C'est d'ailleurs ce qui l'a rendu si jalouse. Oui, jalouse des gens qui l'entourent, jalouse du bonheur des autres. Pourquoi devrait-elle verser des larmes dans un florilège incandescent de joie, de rire et de sourire ?. Pourquoi a-t-elle toujours été la personne au visage triste, et aux mains toujours sur ces yeux rougis ? Encore une fois, l'incompréhension. Pourquoi ? Pourquoi elle et pas les autres ? Pourquoi devrait-elle pleurer, alors que les autres rient de bon cœur ?. Alors, les poings serrés, elle est devenue jalouse. Jalouse de ces gens heureux, de ces familles réunis, de ces baisers entre mères et enfants. Pourquoi ? Ce même mot se répétait insatiablement dans son être, il résonnait dans son âme. Jalousie. Elle détestait les autres, elle détestait leur vie si rose, si belle. Aucun pleur, aucun cri, aucune parole. Juste des larmes. Toujours des larmes. April. Elle avait beau tenter de comprendre, tenter de pardonner à ce monde fou. Mais, elle avait toujours ce même poids sur le cœur, toujours les larmes qui coulaient sur ses joues humides. Pourquoi ? Pourquoi devait-elle pleurer et pas eux ? Pourquoi sa lèvre tremblait et pas la leur ? Pourquoi devait-elle crier et pas eux ? Alors, elle décida de ne plus pleurer, de ne plus crier. Elle décida de faire pleurer les autres, de faire crier les autres. Pour réparer cette injustice dans ce monde étrange, et dépourvue de miséricorde. Alors, suite à l'incompréhension, elle en vint à haïr le monde, et à vouloir le changer, c'est ainsi qu'elle devint jalouse. Mais, cette jalousie lui fit acquirent une certaine maturité, et une tolérance inhabituelle, surtout pour la personne qu'elle était devenue. Et pour la personne qu'elle allait devenir. La maturité qui lui a était accordée lui permit d'apprendre les rudiments du combat, ce qui fit donc d'elle une personne intelligente. Intelligente ... Cependant, beaucoup savent que lorsqu'une personne désir une soif de connaissance sans limite, c'est que quelque chose est derrière tout ça. Car, nulle action n'est faite sans raison, et la raison n'était nulle autre que son but. Chaque personne à un but, peut peuvent y arriver. Mais elle, son but était rythmé par une course frénétique entre ce qui était bien et ce qui n'était pas bien. Et, son désir plus que grandissant ne cessait d'alimenter sa soif de connaissance, dans le but d'atteindre ce but. Mais quel était ce but ? Peut de personne le savent, préférant la lecture aux longues heures de conversations. Préférant établir un contact intellectuel plutôt qu'émotionnel ou social. Qu'importe, ce but était né d'un sentiment. Et noyé dans un florilège d'ondes négatives et de cruauté, ainsi que de jalousie, d'incompréhension. La rancune. La valeur d'un homme est visible de sa capacité à pardonner. C'est ce qu'on dit n'est-ce pas ? Malheureusement, de simples paroles ne peuvent faire oublier, effacer une cicatrice ou guérir une blessure infectée. Elle n'a jamais oublié. La rancune, la haine, elle l'a gardé tel une mine d'or. Car c'était ce qui faisait sa force, sa haine, et sa vision objective du monde dans lequel elle vit. Cupide, amer. Ces mots seuls lui suffisaient pour décrire le monde dans lequel elle vit. La vie, n'est rien d'autre qu'une immense plaisanterie dont seul le créateur peut rire. Cependant, malgré son but, ses idées et ses préjugés, elle ne sait pas qui elle est réellement. Douce ? Gentille ? Perfide où peut être cupide ? Elle s'est tellement renfermée dans une idéologie perfectionniste qu'elle en a oubliée qui elle était vraiment. Oublié. Voilà un mot dont le sens lui est familier. L'enfance est toujours restée gravée dans son cœur fragile, mais certaines choses se sont volontairement perdue avec le temps. Elle a voulu oublier. Elle y est arrivée. Non sans peine. Non sans pleurs. La douleur qu'elle ressent, elle ne s'oublie pas. Longtemps, elle a regardé le ciel bleu, cherchant naïvement le souvenir de son caractère étant enfant. Taciturne ? Ouverte ? Rigolote ? Sérieuse ? La douleur de l'oublie refaite surface. Une haine constante s'empare d'elle et dévore lentement son être. Puérilement, elle se serre le cœur, essayant de trouver une autre douleur physique pour faire disparaître celle morale. Au fond, elle garde un espoir naïf d'enfant attendant la visite d'un conte de fées qui n'arrivera jamais. L'espoir fait vivre après tout ? De l'espoir. C'est sans doute l'une des seules choses qui ne la plonge pas dans la soif de sang et dans la folie pure. S'arrachant les cheveux lors des crises d'angoisse, les yeux éternellement écarquillés par la stupeur. Oui, la folie s'est lentement emparée d'elle, ne laissant qu'un cadavre rongé par des voix sans fin, et des remords incessants. Seulement, une parcelle d'humanité réside encore dans ces yeux. C'est triste à dire, mais une simple erreur peut faire devenir le plus sain des hommes en résidant de folie. Oui, la folie. Les seules bribes de souvenirs qui s'accrochent à elle comme des sangsues la paralysent. Les souvenirs sont flous, mais elle revit constamment les mêmes émotions. Inutile et douloureuse roue. Oui, la roue du recommencement. Celle qui la poursuit depuis tellement de temps. Elle perd la tête. Son esprit se brisant à chaque souvenir, à chaque vision. Car oui, ses souvenirs reviennent d'un seul coup. Revivant pendant un cours instante un bref passage de sa vie, mais, les émotions sont puissantes. Et, elle est plus brulante qu'au moment où elles étaient ressenties. Elle oublie l'instant d'après. Après avoir crié. Après avoir pleuré. Après avoir ri. Toutes ses émotions en même temps la rendent folle. Ses souvenirs l'étreignent de leurs bras douloureux, et la gardent piéger dans un monde ou imaginaire et réalité sont séparé par une frontière minime. Elle. La seule chose lui permettant de ne pas perdre pied dans cette étrange réalité est la douleur. Douleur. Constante, toujours et encore la même douleur. Elle a peur. Elle a peur de ce qu'elle voit, car ses souvenirs, ses rêves se mêlent ensemble à sa vue pour former une mémoire fictive est empreinte de choses incohérentes. Le bruit aussi. Elle entend souvent des bruits qui n'ont pas lieu d'être, qui ne peuvent pas être là. Des voix horribles, des hurlements, des sanglots, de rires. Elle en peur, tellement peur. Oui, la folie s'est emparée d'elle, et la garde fermement dans son monde étrange. Mais un jour, elle s'en libérer. Elle s'est délivrée de ce fardeau. De son fardeau de folie. Cette folie détruisant chaque parcelle encore sen de son esprit. Elle a arrêté de pleurer. Cette renaissance l'a changé. Elle qui autrefois pleurait en se lamentant sur son triste sort. Elle est devenue une personne ne connaissant plus la tristesse. Une personne forte, restant doué d'intelligence et gardant une certaine humanité dans chacune des situations. Les sentiments conduisent à des erreurs. Et pour elle, ces erreurs peuvent lui couter la vie. Une vie bien trop précieuse pour les gens. Elle ne se souvient même plus pourquoi elle a voulu se battre. Sans doute pour arrêter le conflit perpétuel de ces races sans foi ni loi. Elle est devenue une lueur dans le noir sanglant de ce monde. Un espoir auquel s'accrocher pour que justice soit faite. Autant pour ceux qu'elle méprisait que pour ceux incapables de se défendre. Combattant ceux ayant fait du mal autour d'elle. Réglant des indifférant. Apaisant l'esprit de gens coincé dans l'incompréhension de la mort d'un proche. S'autoproclamant justicière. Elle combat. Se baignant dans les hurlements de chacune de ses victimes. Il lui arrive de regretter certaines tueries. Mais, dès lors qu'elle se rappelle qu'une âme heureuse vit dans ce monde grâce à elle, elle s'en réconforte. Elle est devenue amie avec ceux qu'elle traitait comme des monstres. Vengeance est le mot qui se prononce constamment à chacune de ses interventions. Au final, le monstre en elle est devenu quelqu'un de bien. Même si elle n'est pas normale. Même si elle n'a pas de véritable chez elle. Même si elle vit des vengeances des gens. Même si elle ne possède pas une vie paisible. Elle a eu ce qu'elle a toujours voulu. Une vie palpitante.



Once upon a time
Notre vie tient sur un fil. Celle des autres également. Nul ne connait l'authentique histoire à l'allure sombre. Éternelle silhouette. Éternelle rumeur. Devenant même une légende urbaine. Elle est même flattée que des bruits autour de son existence vadrouillent ici et là à qui veux bien l'entendre. Riant au nez de ce disant que son existence n'est que pur calomnie. Après tout, qui sait, peut être que l'instant entre son humanité et sa disparition donne naissance à une légende ? Mais qu'importe. Soit, je vais commencer par le commencement. Elle a grandi innocemment dans une bourgade peu fréquentable. Vivant dans la pauvreté, luttant pour survivre dans ce monde infâme. Elle s'est forgé un caractère bagarreur et bipolaire. Trainant avec des gens à l'allure de voyous. Malgré son jeune âge, elle avait l'habitude de se battre avec les garçons qui lui servaient d'amis. Ne révélant que très peu son côté féminin, elle est rapidement devenue quelqu'un de rebelle critiquant sans cesse la société. Ses prouesses d'intelligences n'étaient pas moins reconnues, ce qui modérait la balance lors des jugements sur ces comportements indignes d'une petite fille. Lors de son adolescence, rien ne c'est arrangé. Elle continuait ses petits malfrats. Volant pour sa famille dans des champs avoisinant. Car, si j'ai omis d'en parler, nous sommes dans la période chinoise sous un empereur tyrannique. Détestant se faire contester. Tuant ceux désirant se rebeller. Il fut même sourd quant aux appels du peuple lorsque la famine grandissait, et que les morts de diète se faisaient fréquents. Impuissante, la jeune enfant a assisté au déclin lent de sa population. Le pain se faisait rare. Les gens devenaient fous, perdaient la raison quant à cette faim qu'ils ne pouvaient pas calmer. Lors de ces brefs passages en ville, alors qu'elle essayait de trouver une vulgaire croute de pain pour rassasier sa famille, elle voyait avec horreur la population. Des gens qu'elles croisaient autrefois plein de vie et heureux, était à présent à terre, essayant de manger la terre. Les gens pourrissaient. Les côtes se firent bientôt voir sous leurs peaux défraichit. Les maladies attaquaient sans répit. Les gens marchaient avec une lueur d'espoir dans le regard. Avec des taches sur leurs peaux, la langue pendante, le dos voûtés, les yeux exorbités, la fatigue creusée. Balançant leurs bras aux rythmes de leurs pas lents et misérables. Une vision d'horreur qui ne peut se décoller de l'esprit rêveur d'un enfant. Elle avait-elle même vu son corps se détériorer lentement. Eux, Russe des bas quartiers, espérant trouver une vie meilleure au pays du soleil levant. Ils n'avaient eu que la mort, la souffrance, et la famine. Elles voyaient sa mère faire de moins en moins de gestes. Se casaient lentement chaque os de son corps. Se recroqueviller sur elle-même. Des taches sombres apparurent ainsi que des plaques rougeâtres. Puis, un matin d'hiver, elle tomba sur le sol lors d'une promenade. Faisant voler son panier de fruit sous les pieds de sa fille. Elle ouvrit les yeux et murmura un bref "maman " avant de se précipiter aux pieds de sa mère. La secouant frénétiquement. Ses yeux étaient toujours ouverts, mais vides de toutes expressions. Elle pleura à chaudes larmes sur le corps pourris de sa mère. Les mouches volaient déjà autour d'elle. Puis, vint l'empereur. Venue se divertir dans la région. La fillette, le voyant passer, lui demanda une once de pitié pour sa pauvre mère. Couvert d'or et de diverses parures, il jeta un regard méprisant sur le corps de sa mère. Avant de reporter sur celui de la charmante jeune fille. Il soupira, et lui donna un violent coup de pied dans les côtes. Le contact fut brutal. Elle eut le souffle coupé et une douleur aigüe au niveau de sa poitrine. L'empereur la prit par les cheveux et lui dit ces quelques mots :

- Je me ferai un plaisir de te donner de l'argent en échange du plaisir que tu pourrais me procurer.

La fillette ouvrit lentement les yeux, et vit la main baladeuse de l'empereur farfouiller dans son T-shirt. Puis, descendre lentement vers son ventre, puis vers son bas-ventre. Elle se débattit lentement. Tant de terreur que de rage. Elle battit faiblement ses mains et ses pieds dans le vide. Par miracle, sa main atteignit celle de l'empereur qui la lâcha aussitôt. Il poussa un hurlement avant de lui donner un autre coup dans la mâchoire. Elle fut projetée par terre et garda faiblement le contact avec la réalité. Elle vit l'empereur se nettoyer de la trace invisible qu'il avait laissée. Souillé disait-il. Elle était ahurie. Tant par le comportement pervers de celui qu'elle considérait avec autant d'importance que d'estime. Elle pleura silencieusement, se cachant du reste du monde avec une seule main. Laissant l'autre appuyer sur sa blessure. Le gout rouillé du sang lui parvint dans la bouche. Elle était entourée de cadavre de tant de gens. Tous morts de faim. Dans l'indifférence la plus totale du reste du monde. Elle se releva lentement. Pris, une épée dans l'armurerie la plus proche qui était habitée par une odeur de mort. Et se dirigea vers le palais de l'empereur. Passant à travers les murs. Elle ne savait même pas qu'elle possédait cette faculté. À vrai dire, ceux qui l'entourait autour d'elle était flou. Seule sa rage la consumait, lui faisant perdre pied de la réalité. Elle se dirigea vers la table de l'empereur qui croulait sous les mille et unes saveurs qui se déversaient devant elle. Personne ne bougea. Elle planta son arme dans le cœur de l'empereur. Son souffle se faisait sentir comme étant un grognement. La table fut broyée par une force invisible. Ainsi que la totalité des objets dans la pièce. Elle hurla. Et pleura, l'épée encore dans sa main. Elle courut ensuite. Courut là où le vent l'emmènerait. Elle changea souvent de prénom. Perfectionnant son maniement de l'épée. Et devint une personne vivant du sang des gens qu'elle tue. Après tout, c'est une vie comme un autre.

Another Day


Dernière édition par April L. Aaron le Dim 2 Nov - 12:04, édité 13 fois
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Alizire Eclarey
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeJeu 16 Oct - 21:59

Mais mais mais... Licorne !
Bienvenue à toi ~ Fiche qui promet, j'aime bien ton style d'écriture, mais je sens venir le pavé de 10000 mots pour l'histoire ça va faire mal xD Bon courage à toi dont je suis la passion, la couleur préférée et tout le reste o/
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeVen 17 Oct - 11:43

Bienvenue esprit perdu ---  bonne chance pour ta fiche/et au plaisir de te voir sur la cb! Better than you ~
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Evanna K. Walker
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeVen 17 Oct - 14:26

LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! LICORNE ! 

Si tu as des questions n'hésite pas ! =D
Et t'as pas intérêt à draguer MON Alizou. eê

Bon courage pour ta fiche !
I'm so happy !
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeSam 18 Oct - 21:20

Ali : 10000 ? Mais pourquoi dis tu ça ? 8D

Bref, merci pour ces bienvenues.
Je viens vous informer que ma connexion a décidé de se faire la malle. Et comme je croule sous les révisions. Ben, je ne passerai sans doute pas avant Dimanche - semaine prochaine bien uuh - donc ma fiche risque d'être très lente. Voilà, à bientôt bande de pedocorne.
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Alizire Eclarey
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeDim 19 Oct - 11:12

Genre ma patate zombie qui se réveille maintenant que quelqu'un s'intéresse à moi, c'est mal d'être jalouse tu sais ? é_è

Pourquoi 10 000 ? Ptet parce que rien que pour le pouvoir t'en fais déjà au moins 500 et que jamais une description n'a aussi mal porté son nom ? xD Enfin je critique pas, hein, tant que tu ne blasphèmes par sur les textes sacrés du bescherelle ça me va.

Bon courage avec ta connexion qui a décidé de se faire le mâle, et pedocorne toi-même ~
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeMer 22 Oct - 12:22

Bon, j'ai changé de prénom, de Perso. J'ai tout fait à partir de mon portable sisi. C'tune ancienne prez. Comme je voulais pas vous faire patienter trop longtemps vu que je peux mettre plusieurs semaines pour terminer une prez, ben voilà. Le mental devrait arriver bientôt. Je corrigerai les fautes sur l'ordi par contre. Voilà, souhaitez moi bonne chance bande de pedocorne.

Maj : Mental fait, l'histoire devrait arriver vers la fin de la semaine.
Pardon pour les méchantes fautes du mental.

PPS : Donnez moi les cookies.
PPPS : Pour pas me faire taper dessus, elle se bat à mains nues contre des sous. Elle les tue pas, elle leur flanque juste une bonne raclée et elle ne gagne pas toujours. Si vous voulez que je change dites le moi •^•
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeVen 24 Oct - 13:18

Je rectifie, c'était pour les descriptions les 10 000 mots, l'histoire ça sera 50 000 /sbaf/
Juste pour dire que j'ai rajouté une petite ligne de code histoire d'éviter de se retrouver avec une fiche de 10km de long, tu la recopieras dans la boite histoire, pour les tailles fais comme tu veux (et oublie pas de fermer la balise après le texte - on sait jamais)

*Donne un cookie pour la peine*
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeDim 26 Oct - 19:34

J'ai termiiiiné ! L'histoire un peu en vrille. Maybon, si faut changer un truc dites le moi o/. J'ai pas fait une histoire trop longue parce que je voulais pas vous faire trop lire non plus J'avais plus la flemme mais chut. Bref, c'était juste pour vous dire que j'avais terminé !
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeDim 2 Nov - 19:29

Les gens. M'oubliaaaait pas DD8
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeDim 2 Nov - 20:10

Désolés pour l'attente oui, mais faut dire qu'un pavé comme ça c'est décourageant faut nous comprendre xD. En plus, ayant juste lu ton histoire pour le moment, j'ai remarqué pas mal de fautes (d'inattention surtout), alors je serai sadiquement tentée de te demander de te relire... hihi ♥

Ensuite, la fin me dérange un peu... je sais pas, ton personnage tue un empereur, et... c'est tout, on baisse le rideau ? Personne ne la poursuit, sa tête est pas mise à prix, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Pour moi, la fin mériterait un petit développement quand même.

Et petit point à part, mais tout de même important : tu n'as pas d'avatar. Tu peux passer une commande ici au besoin, mais il t'en faudra un pour être validée de toute façon, alors traine pas trop ♫

Quant au reste de la fiche... *s'effondre* y'en qui ont cours demain T.T
Bon courage, autant à toi qu'à mes collègues xD
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Jennyfer Definder
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitimeVen 19 Déc - 10:39

Bonjour April
Où en es-tu de tes modifications ? Pourrais tu nous donnez un signe de vie d'ici jeudi prochain, sans quoi ta fiche sera déplacé dans la section des fiches sans réponses et tu devras dans ce cas là envoyer un mp à un membre du staff pour la récupérer.

EDIT DU 27/12

Fiche transférée dans les fiches sans réponses, n'hésite pas à envoyer un mail à un membre du staff pour la récupérer si tu as envie de la continuer.
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MessageSujet: Re: April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant.   April | Je descends de la colline les cheveux au vent, fredonnant l'air que nous aimions tant. Icon_minitime

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