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 de la démesure, du cran et de la patience — baltou

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Balthazar Warren
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Balthazar Warren


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MessageSujet: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeVen 29 Juil - 22:57



Balthazar Warren

informations
PRÉNOM ♦️ balthazar l'batard. non en vrai t'aimes bien ton prénom même si ça fait pas trop rock'n roll.

NOM
♦️ warren, prénom à la the conjuring. oui parce qu'en plus, t'aimes bien ce genre de film. 

AGE
♦️ t'es sorti de ta quiche un 21 juin. Depuis, tu t'es pris 23 pétards dans l'âme.

SEXE
♦️ long.

ORIENTATION
♦️ l'AMOUR n'a jamais été ta voie. et l'AMOUR ne t'intéresse pas. mais les seins, les grosses mains, ça ne te laisse pas de marbre. alors l'AMOUR n'est qu'une chose de plus à découvrir.

RACE
♦️ humain.

OCCUPATION
♦️ homme à tout faire -à prendre au pied de la lettre- et sans domicile fixe -ou presque-. c'est vrai que parfois tu dors à la rue car le proprio te fous dehors. tu t'es fait baisé pour ton diplôme, tu t'es fait baisé par ta vie, du coup t'as trop une tête à claque pour chercher du boulot. en vrai, tu sais même pas c'que t'aimes faire. tu sais faire quedal puis tu t'en branle, t'es juste trop paumé pour ouvrir les yeux. t'es bien comme ça, simplement, librement.Tu t'attaques aux briques comme aux cuisses. C'est plutôt clair non ?


Physique et psychologie

Des yeux bleus, profonds et embrumés.  Tu as perdu une grande partie de ta masse musculaire d'antan à cause de la famine. soixante-cinq kilogrammes répartis finement sur ton ossature large et imposante. Il te reste néanmoins bien assez pour faire le joli coeur. — Très grand, un monstre de cent quatre-vingt-trois centimètres. Une taille qui peut faire peur et qui émane un profond charisme. — Un smiley tout simple ( piercing ) en métal sous la lèvre. Ça repousse, ça attire. Tu t'en fous des satires que la société impose. — Pas trop le sous pour investir dans les habits. Les friperies, c'est sympas, c'est pas cher. T'aimes le discret, t'as pas le temps d'être classe, beau gosse et souriant. Baggy, sweat, basket ou bottine. Tu prônes le pratique à l'élégance. — Tu n'as pas marqué ton corps avec de l'encre, juste avec le travail et les cicatrices.  — Des cheveux noirs comme le charbons, en bataille et pourtant, ça te donne du charme. — Une fossette, des pommettes, un sourire qui peut se faire franc et éphémère, faux et froid ou méprisant et salaud. — Tu es sensible de la peau, tu adores qu'on te prenne la main, la chaleur et la douceur que cela te procure est forcément sans nom. C'est vrai que comme ça on dirait pas, mais pourtant, t'es comme ça.

-







Histoire




Les racines,
Aussi fines soit-elles,
Sont la base,
Les fondations,
Froides ou chaleureuses,
Qui nous cimentent,
De haine ou d'amour,
En ce qui me concerne,
Les racines,
Me rendent vide,
Aussi jolies soit-elles,
Elles creusent,
ce si joli battement palpitant,
Qui jadis galopait dans mon champ.




Tu as eu une vie qui a toujours été superbement tracée. Depuis ta naissance jusqu'à sa mort. Superbement était un grand mot et pourtant, tu as toujours aimé ton ancienne existence pour sa facilité et son organisation qui s'est écoulée sans un seul dérapage, sans un seul bruit de froid et de solitude. Tu suivais les lignes de ta main aussi frêles et pâles étaient-elles. Douces et paisibles comme les concertos de Chopin, tu aimais les mains de ta mère. Elles avaient le don de te plonger dans une ivresse candide et chaleureuse. Tu n'étais pas comme les autres adolescents qui mettaient un mur de complexes entre leur parent et leur monde. Non, ta mère était bien l'une des seules femmes qui ne t'a jamais prise la tête. Ton père, c'était plutôt quelqu'un de lointain, qui aimait son métier de photographe pour un joli petit post au national géographic. Tu ne lui en voulais pas et au fur et à mesure des années, la hiérarchie familiale s'était durement installée. C'était maman qu'on venait voir pour déboucher un évier, installer une prise électrique, car oui, ta super maman, c'était une femme manuelle qui avait les poignes fortes et confiantes. C'était d'ailleurs ça qui avait attiré ton père à elle. Ton cher père était inexorablement et passionnément fou d'elle. Il ne montrait pas son amour comme n'importe qui le ferait. Non, lui, il aime le détail, la décadence silencieuse de son univers. De nature très créative, ton géniteur a eu mille et belles idées de courtiser sa belle de manière à ce qu'elle reste toujours entre sa paume, son cœur, sa vie. Il se donnait énormément pour elle ainsi que leur vie de famille. Il essayait toujours de faire de meilleurs prises, des photographies éphémères et goûteuse à dévorer lors d'une lecture du fameux magasine. Il voulait entretenir tout ça, mais sa peur, elle, ne se défilait jamais. Ton père a toujours su que ta mère ne serait jamais, malheureusement, à lui. Lorsque tes parents se sont mariés, ils éprouvaient des sentiments puissants. Mais pas aussi charnelle que l'amour. Pas aussi douloureux que la luxure. Il le reniait, mais il le savait. Ton père, Arthur Warren, était gay.



C'était à l’époque, une question de facilité. C'était trop honteux de se déclarer homosexuel à une famille de droite. Il a alors rencontré ta mère, une jeune femme dont l'échine débordait à craquer de sa chevelure épaisse et charbonneuse. Il s'est laissé tenté. Il s'est obligé à l'aimer. À éprouver du plaisir en l'embrassant, à jouir joyeusement en elle. En se mariant, ils étaient tous les deux au courant. Mais ta mère, elle l'aimait. Pour sa personnalité, son sourire, sa fragilité « Alors nous serons meilleurs amis, et ce, jusqu'à la mort ». Et ils s'embrassèrent devant l'assemblée. Bien sûr, personne ne connaissait le secret que renfermait la boite de Pandore. Les jours défilèrent et Louise, ta matrice, voulu procréer. Ton père savait qu'un mariage parfait se finalisait avec un môme en bonne santé. Il savait aussi que c'était l'un des désirs ultimes de sa femme et qu'il n'était pas en mesure de le lui refuser. De cette histoire, tu naquis en neuf lettres minuscules, Balthazar, le fruit non pas de l'amour, mais d'une promesse. Heureusement, tes parents t'ont toujours aimé. Arthur n'éprouvait que pour toi l'amour d'un père et de son fils. Et Louise, ô ciel, c'était la lune de miel au pays des caramels et des cookies à la cannelle. Voilà pourquoi, t'as vie a toujours été tracée finement et à la plume. La peur de tout perdre, ton père mit son œuvre en scène avec soin et douceur, œuvre qu'il nomma : La famille Warren.



La concordance symphonique des ficelles de cette vie fut brisée nette le jour durant une nuit d'été, ta mère cessa d'exister. Vous aviez, dans votre petit quartier, l'une des plus charmantes maisons. Elle destiné à plaire, à engager la conversation avec le facteur pendant que tes parents arrosaient la haie. Elle était faite pour inviter les gens à y prendre un café tout en souriant allégrement aux anecdotes niaises et futiles sur ta vie de bébé. Que c'était fort bon de vivre entre ces quatre murs couverts de photos et de peinture. Beaucoup de gens aimaient cette maison qui dégageait une aura maternelle ainsi que chaleureuse. Et apparemment, elle dégageait aussi l'odeur de l’argenterie, de la bijouterie et de la technologie. Car fut-elle la macabre surprise de voir entrer dans le plus grand des silences, deux hommes cagoulés de sorte à ne point voir leur pitoyable visage d'insecte rampant sous le feu de la tentation et du diable. Et c'est là, que le vinyl sauta. Il grésilla avant de se casser en mille morceaux sur la couleur pourpre des regrets et de l'impuissance. Oh, tu n'avais que onze ans et tu dormais jusqu'à entendre les pas feutrés des deux invités. Tu pensas trouver ta mère, ton père, mais pas un monstre. En ouvrant la porte, les hommes s’empressèrent de te coller contre le mur, pointant une arme à ta juvénile tempe. Ta mère, inquiète d'entendre elle aussi de bruit, déambula nerveusement dans le couloir. Le coup fut net et précis : dans la tête. Tentant le tout pour le tout afin de te sauver, elle courut, le cœur débordant de douleur et d'amour. Les deux cambrioleurs n'avaient pas prévu cet affront, ils relâchèrent le gamin que tu étais avant de filer, laissant ta mère inerte sur le parquet que ton père a eu tellement de temps à finaliser. Si tu pouvais décrire l'un des plus tristes spectacles macabres, ce serait sans doute le tien, celui du gamin qui hurla, qui empoigna le cadavre de sa mère pour lui ouvrir les yeux, pataugeant dans le sang, les larmes et les décibels hurlant d'une tragédie.



Ce fut pour ton père, un désastre, un blasphème. Il n'en dormait plus, il ne mangeait plus. Dans ton coin, tu endurais cette perpétuelle douleur de vide encrée dans ton cœur de gosse. Tu n'as pas eu durant ce laps de temps, le soutien que tu aurais voulu de ton père. Tu ressentis donc le besoin de placer entre vous deux, une barrière d’amertume et de froideur. Triste à en crever, tu passas des mois et des mois cloîtré dans ta chambre en ouvrant la porte de cette dernière pour ainsi contempler le lieu du sacrifice. Ce que tu avais pu en baver avec les études qui ne faisaient que te rabaisser, te persuadant que tu n'étais qu'un déchet, un être tout bonnement con et inutile. Tu t'es retrouvé donc à contempler plusieurs fois par semaine assis sur ta chaise, contemplant sournoisement la boite de somnifère de ton père. Mais tu n'as jamais cédé au suicide. Tu as cédé à la liberté, l'amour et la solitude. Ton cran et ton tempérament farouche étaient désormais révolus, en déclin vers la paresse et une mine blasée des jours monotones. Tu as arrêté de pleurer à 16 ans, faute de stock en larme. Faute de temps et consolation « Balt', pardonne-moi mon grand mais on m'a proposé un post en Afrique. J'aurai de supers clichés à faire puis tu pourras prendre l'avion … Je gagnerai plus d'ailleurs. Tu ne voulais pas un scooter ? »



Aaaah, ton père ne s'est jamais remis. Avec l'âge, ta rédemption et ton pardon le lui ont été accordés. Tu n'as jamais eu le soutien de ton père. Enfin, pas de ce qui importait vraiment. La seule et unique chose que tu voulais, c'était qu'il t'embrasse le soir, qu'il te donne la main et qu'il change cette maudite serrure de porte qui te terrifiait tant. Arthur est donc parti au Congo, dans son loft luxueux mais si froid et désertique. Car la seule chose qui a toujours manqué à ton père c'était les deux brosses à dents manquantes sur le rebord de l'évier. Tu n'as jamais été voir ton géniteur. Tu recevais tous les moins une carte ou une lettre aux quelles tu ne répondais que très rarement. Et un jour, le papier se remplaça par le silence des années. Il t'envoyait, en revanche, toujours, et ce, jusqu'à la fin de sa vie, quelques sous sur ton compte. Ton père mourut un 15 janvier, l'année de tes dix-neuf ans, d'un AVC, sans aucune douleur, dans son salon avec la chaîne hi-fi qui chantait les Immortal Waltzes de Chopin, fumant le plaisir d'une solitude laiteuse et embrumée par une vie parsemée de trou et d'un gamin trop loin pour enfin lui tenir la main. Tu t'es au moins rendu à son enterrement. Et dans son caveau, tu lanças une revue gay ainsi que ton vieux mp3 de gosse « J'espère que tu vas t'amuser le vieux avec ce que je t'ai donné. Je reviens vous embrasser vite ». La mort de ton papa ne t'a pas autant affecté que celle de ta mère. Tu semblais avoir pris de la sagesse, tu savais que la mort était imprévisible et tu savais aussi que ton père était prêt à partir, sa vie était faite, tandis que ta mère, elle, n'avait pas eu le choix d'être arrachée à son enveloppe charnelle.




Quand t'es pauvre,
Quand t'as juste assez pour faire pitié,
T'es pas très optimiste,
Les gens ne t'aiment pas,
Ils disent à leur gosses,
Fais attention sinon tu finiras comme lui,
Moche, sale et crasseux, sans famille,
Dans un sens c'est vrai,
Dans un sens, c'était de ta faute,
Mais t'étais clairement pas prêt,
Sauter comme ça,
Tout seul sur le rebord de la route,
D'un monde candide à celui d'une brute,
T'as pas eu le temps de grandir,
de murir,
de sourire,
Que la vie, du haut de ses canines,
T'as bouffé le coeur,
L'ardeur,
Et t'as insufflé des peurs.




Quand tu es rentré à la fac, tu avais vingt ans. T'étais ivre mort de ce foutoir qui complétait ta vie alors tu as mis à la poubelle toutes les chances de devenir quelqu'un. De devenir le docteur du village, l'avocat qui gagne ses combats, t'es juste devenu une merde qui à l'époque adorer baiser les jolies filles. Mais bien avant ta chute, tu complétais tes feuilles de cours. Fac de psychologie, c'était partiellement intéressant, mais pas assez pour ne puisse lever ton regard de cette femme. En fait, c'était à cause d'elle que tu trouvais dans la salle de cours, c'était de sa faute si tu ne bossais pas. Elle t'obnubilait. Par ses courbes, sa façon de parler, son sourire en coin, non ce n'était pas de l'amour, du sexe ou des caprices. C'était le sosie de LA femme. Celui de ta mère dans son temps de jeunesse qui avant l’apocalypse de ta vie, était comme deux gouttes d'eau, la femme qui te donnait cours. « Balthazar ? » puis même, sa voix, c'était quelque chose. Enivrante. « Oui madame ? » Tu serrais ton bloc contre ta poitrine qui semblait fondre sous l'effet de la pression de ton cœur. « Tu fous quoi ici ? Tes notes ? Inexistantes. Tu viens pour le plaisir de mater les poignées de portes ou pour trouver un somnifère à tes insomnies ? ». Tu aurais voulu dire que tu venais pour elle, car sa présence te réconfortait, elle t’apaisait. Tu te fichais du temps qui passait alors tu as juste répondu « Je viens juste pour draguer les fantômes ». Draguer les cauchemars, draguer les idées illusoires, jusqu'au jour où tu as eu LA femme au lit.


Tu t'es dégoutté, clairement. Mais à l'époque, ton besoin de chaleur et d'amour était si important que tu faisais des conneries. Des conneries de jeunes. Tu t''en foutais de toutes les filles, ce n'était que des bougies qui à leur dernière lueur, ne te servaient plus à rien, juste à te réconforter. Manipulateur, beau parleur, quel beau connard tu faisais. Même cette prof, tu t'en foutais. Tu voulais obtenir en elle, l'amour d'une mère. Bien évidemment, tu n'es plus retourné en cours. Tu as abandonné les cours. Tu ne voulais plus revoir cette femme, cette image sale de toi. Tes mains étaient sales, ton corps était sale, ton âme était noire. Pour toi, c'était comme si tu avais couché avec ta propre daronne, séduit par les souvenirs et ces saloperies démons qui te rongent depuis bien longtemps. Tes grands-parents t'ont laissé leur appartement. Mais à leurs morts et avec le temps, tu ne pouvais plus rien payer. Pas de diplôme correct, pas de vie correcte. Tu n'étais pas vraiment courtois et la ponctualité ça ne te concernait pas. Tu n'avais ni la tête ni la motivation de tourner dans le bon. Tes fréquentations, aussi futiles et débiles les une que les autres. T'as même commencé à ruminer la nicotine, l'herbe et les délires puis les huissiers ont frappé à ta porte. T'avais quoi ? 500 dollars à tout péter. Pas assez pour t'acheter un truc, juste pour te fabriquer un carton à côté des centaines d'autres sous les ponts. Les filles ne venaient plus vers toi, tu étais sale, puant la crève et les rats. Tu mendiais comme un déchet, aux entrées de métro ou devant les commerces. Le regard embrumé et perdu, tu fixais le gobelet en plastique, toujours vide, éternellement vide, tu fixais à quel point ta décadence était allée loin. T'avais beau trouver un bol de soupe ou deux, ton ventre sonnait indéfiniment creux. Et ton cœur on en parle ? Ce n'était pas le feu ni les belles paroles que tu échangeais avec tes voisins, qui t'aidaient. Tout ce qu'il te restait c'était ta porte feuille, ta carte d'étudiant et une photo de famille, chiffonnée, déchirée et brunie par la crasse. Les larmes seules pouvaient te réconforter dans ton foutoir. Aussi chaudes et salées, elles ne pouvaient pas tout effacer « Alors je veux tout recommencer ».


Par où commencer ? Par où faut-il aller pour recommencer ? Faire un reboot, faire comme si rien ne s'était passé ? L'agence de la vie ? Non, tu ne crois pas. Peu importe où tu iras, les gens te dévisageront. Du moins, tu en auras l’impression. Les humains n'ont pas de pitié. Ils sont de fidèle carnassier à leur compte en banque, à leur train-train quotidien. Et les mutants ? Et another ? T'as tout quitté, tout. T'as rejoint cette île, tu voulais juste goûter à une vie nouvelle, sans ombre, sans poussière avec des gens différents et qui entretiennent leurs différences. Ce n'était pas bien dur de rejoindre l’îlot avec tous les bateaux qui se trémoussent sur la cime des vagues. Pas grand chose sur le dos, juste un sac à dos émoussé par le temps et la pluie. Pas grand chose dans la tête mis à part le battement fort et irrégulier de ton étoile, chaude, téméraire, cloîtrée dans ton corps, dans ton âme. Il ne t'a fallut qu'un an pour épouser et embrasser les courbes d'Another.


T'as beau l'air fier,
Haut, droit et jeune,
T'as les lèvres pétées,
Le coeur glacé,
L'âme prude,
Les dents grinçantes,
Comme un renard, un loup, un chien,
Enragé par la soif de chaleur,
De maître et d'espace,
Tous les soirs tu roules en boule,
Tu allumes la bougie,
Tu regardes sous ton lit,
Tu scrutes le ciel,
Et la larme coulante, chaude et éphémère,
Tu serres ta poitrine de tes paluches,
Seul au bord de la falaise.





behind the screen
NOM/SURNOM ♦️ von.
AGE ♦️ 16 yo.
LOCALISATION ♦️ dans le trou du cul du monde en Belgique.
TES PASSIONS ? ♦️ niquer des mères ? La photographie, le rpg, dormir, branler.
TON POKÉMON PRÉFÉRÉ ? ♦️ arcko.
TON TRAIT DE CARACTÈRE DOMINANT ? ♦️ on dit souvent de moi que je suis insupportable. sur tous les rpg que je connais. be happy.  What a Face
COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? ♦️ J'Y ÉTAIS AVANT. alors je vous dis pas quand j'ai vu que la maintenance était finie, j'ai crié de joie mdr. PT C TRO COUL. Rrrrrainbow mai je c plu ki jété dsl 
UN DERNIER MOT ? ♦️ bite.

CODE DU RÈGLEMENT ♦️ Evannou was here ♥️




Dernière édition par Balthazar Warren le Mar 16 Aoû - 2:01, édité 12 fois
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Evanna K. Walker
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeVen 29 Juil - 23:29

Bienvenue ! Ou plutôt... rebienvenue ♥️
J'ai validé le code, et répondu à ton MP.

Au plaisir de voir le reste de ta fiche, n'oublie pas que tu possèdes deux semaines pour la terminer !

Courage !
I'm so happy !
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Alizire Eclarey
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeSam 30 Juil - 18:11

J'crois que j'vais aimer ta fiche toi, tu me rapelles de souvenirs. Rebienvenue à toi ♥ Même si je sais plus qui t'étais non plus, disons qu'on m'a reformaté la mémoire alors... ~

Au plaisir de lire ta ptite fiche :3
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Yamiko N. Ui
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeDim 31 Juil - 18:20

*Écris sans même avoir lue un seul mot*
EVAN PETERS.
Rebienvenue ~
So, j'ai pété un fou rire toute seule à cause de ta prez' parce que "Sexe: Long.".. Moi et la maturité voyez.
J'aime déjà pas mal ce début de fiche, bon courage pour la suite en somme, j'ai hâte de pouvoir la lire en entière!
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeLun 1 Aoû - 13:46

Merci jolies donzelles. ♥️
J'ai retrouvé mon ancien compte, mon ancienne fiche plutôt. Aru Yamiko, j'avais pris Gumi. o:
Yamiko, sache qu'en plus d'être long, il est bon. Slurrrrp 

J'ai posté la première partie de mon histoire. ♥️
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 14:38

J'ai lue la première partie de ton histoire, et j'ai franchement envie de la suite du coup. M'enfin passons. N'oublie pas de préciser ce qu'il fait par chez nous puisqu'il est humain, d'ailleurs.
Sinon, j'ai relevé une petite faute, de frappe sûrement, mais rien de grave: "ter persuadant", quatrième paragraphe sans compter la jolie intro ~

Bon courage pour la suite, puisque tu as l'air de faire long .0. ♥
Je n'irais pas goûter, je te crois x)
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeJeu 11 Aoû - 17:03


Bonjour Balthazar,
Ton délai pour terminer ta fiche s'achève, je viens donc prendre de tes nouvelles.

Où en es-tu ? Si tu souhaites obtenir un délai supplémentaire pour une raison quelconque, n'oublie pas que tu dois le mentionner, pour éviter que ta fiche ne soit déplacée. Je te laisse jusqu'à dimanche le 14 août pour nous donner un signe de vie, sans quoi nous devrons déplacer ta fiche.

En espérant avoir de tes nouvelles !
Slurrrrp

Edit:
Ayant demandé un délai, tu as donc jusqu'à la fin du mois et quelque, soit le 10 septembre pour finir ta fiche.
Bon courage, et nous te souhaitons bonne chance irl.
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Balthazar Warren
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeDim 14 Aoû - 3:39

J'ai finis le physique et l'histoire !
Manque plus que le cara. c:
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeDim 14 Aoû - 14:49

Anw, ça avance plus vite que prévus à ce que je vois!
J'ai lue la suite de l'histoire, si ce n'est deux petites fautes banales que j'ai repéré sans relever, elle est largement acceptable.
Le caractère n'est pas quelque chose que l'on peut beaucoup juger donc, je te laisse le faire pi un de nous le lira, à mon avis tu seras validé rapidement ~
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Alizire Eclarey
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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitimeLun 19 Sep - 10:14

Blblbl, des nouvelles ?

Hm, j'suis un peu en retard moi... faut pas hésiter à up si tu as terminé, sinon moi je vois pas >w< ! Espérant te revoir parmi nous ♥

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MessageSujet: Re: de la démesure, du cran et de la patience — baltou   de la démesure, du cran et de la patience — baltou Icon_minitime

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