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 Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]

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MessageSujet: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeSam 11 Oct - 14:28


William Kyband



Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] 336206pres

Who are you ?


─ Becoming him ─


• Prénom : William
• Nom : Kyband
• Âge : 19 ans
• Sexe : Masculin
• Race : Démon
• Orientation : Hétéro
• Occupation : apprenti hypnoticien
• Animal de compagnie : Le perroquet

• Pouvoir (ou Programmation pour les Androïdes): Invisibilité
Description du pouvoir : peut rendre un être pensant invisible (avec contact si corps d’autrui), non effectif sur les objets ou vetements. L'on verra des vetements flotter si il se rend invisible ou rend une personne invisible, et qu'ils portent des vetements. Pouvoir dans la durée, les cellules s'épuisent suite au changement d'utilité qui leur est due, et si invisibilité prolongé, fatigue après plus de 8 heures, détérioration des cellules après plus de 24h. Peut entraîner la mort. Ne peu rendre quelqu'un invisible que si il se rend invisible à son tour (tuer c'est mal!)


─ Becoming I─


• P'tit nom/pseudo : The Kingmaker
• Ton âge : entre 17 et 28 ans
• Garçon ou fille ? garçon
• Comment as-tu connu le forum ? bouche à bouche
• Comment le trouves-tu ? mal adapté pour les écrans non petit
• Tu vis où ? dans le sud
• Tes passions
• Ta couleur préférée : Orange mécanique
• Ton trait de caractère dominant ? Zélé
• Un dernier mot ? C'est votre dernière bafouille?
• Le merveilleux et fantastique code : Validé mais la prochaine fois contente toi du code x3 #Emily


WHO AM I?!
I AM A CHAMPION



When I tell you, that I need you, please believe that I won't leave you.

"Imagine qu'on te mette sur une ligne de départ dont la signification est "fais ta vie". Seulement on ne te dis pas que ton voisin fera tout ce qu'il peut pour te faire tomber. Tiens prenons un exemple: Aujourd'hui je t'ai tendu la main, je suis un type sympas; mais demain, je ferais tout, tout pour que tu dégages." 

Soit beau, aime ton prochain, soit gentil, défend le faible, vaine paroles en l'air, toujours le même refrain, mais à qui sert ce refrain ? Je m’étais posé la question il y'a fort longtemps. LA réponse est simple, évidente. Il sert à autrui. Il faut l'aider quand il ne sait pas s'aider soi-même, le sauver quand il ne sait pas se sauver soi-même. Faut toujours leurs torcher le cul à ces faibles, ces toujours à moi d'aider tout le monde, toujours, aider machin, secourir bidule, donner un coup de main à truck, et à la fin, il me reste quoi moi? Rien. Juste de l'énergie perdu, du temps consacré à des ingrats, à des putins d'égoïste qui te sermonne pour que tu les aides et qui dès que toi tu es dans la merde, disparaissent sans laisser de traces. 

Tous des traitres. Avant j'étais quelqu'un d'haineux, à ma prime jeunesse, j'étais celui qui écrasait les autres, l'épée le juge et le bourreau en même temps. Vous me direz "il a grandi avec 'âge, il a murit." C'est des conneries ça, ce n’est pas l'âge qui vous fait murir, c'est les épreuves, les déchirures, la douleur, les trahisons. 

Mais j'avais un atout offert par dame nature, j'étais foncièrement intéressant, de par mon physique j'entends. Au premier coup d'œil, j'inspire toujours un sentiment, soit un sentiment de confiance, soit un sentiment d'effroi. "L'albinos" qu'on m’appelait. Cheveux de feu et peau de porcelaine, je ne bronze pas, je brûle. Je ne prends pas feu, mais là ou d'autre bronzerons après 3 heure sous un soleil de plomb, moi j'aurais seulement des coups de soleil. 

Quand j'y pense, les pires coups que je n’ai jamais reçus ne furent portés que par mon soleil, mon rayon de soleil, celle qui illuminait mes nuits, mes journées, qui rayonnait d'une lueur céleste. Jusqu'au jour où elle s'est lentement inclinée, venant caresser la bassesse et la vilainie. Dès lors, son embrasement précédemment chaleureux, m'a lentement consumer, jusqu'au jour où je n'ai pu me sauver moi-même.
 
Au final, la vie ne vous prépare à rien, il n'y a que la mort. Vous ne faites jamais rien pour vivre, mais pour ne pas mourir... C'est un autre monde. Amusant n'est-ce pas? Jusqu'où un homme peut aller pour ne pas perdre ce qu'il à, pour le regagner, fourberie, trahisons, complot, violence, meurtre, piège, flatter la bête pour mieux la poignarder quand on en aura l'occasion. Au fond de nous, on a tous une hyène qui un jour sortira les crocs. Peu importe, Il existe une image de chacun, de moi. Une sorte d’abstraction. Mais je n’existe pas vraiment. Ce n’est qu’une entité, quelque chose d’illusoire. Et bien que je puisse cacher mon regard froid, que vous puissiez me serrer la main et sentir ma chair s’agripper à la vôtre, vous pourriez vous dire que nos vies sont comparables. Mais je ne suis tout simplement pas là. 
 
Un jour j'ai lu une phrase qui m'a toujours paru... vrai.
"La valeur d'un actif est la somme de ses flux futurs."
J'adore cet aspect de la finance: le passé ne compte pas, ce que tu vaux, c'est ce que tu peux devenir.
Votre mètre quatre-vingt n'importe pas, ni vos 80 kilos, pas plus que votre chemise et votre costume, vos mocassins, votre bouille d'ange et vos cheveux en bataille, vous pourrez être le plus beau du monde, cela ne sera au final qu'un atout. Ne jamais se fier aux apparence quand bien même elles sont des plus délicieuses. 
Nous sommes souvent à blâmer en ceci. Il n'est que trop prouvé qu'avec le visage de la dévotion et de pieuses actions, nous enrobons de sucre le diable lui-même.
 
Et vous, que voulez-vous être?
Once upon a time




"La vie c'est une pute, une sale garce
Un truck qui te dévore, jusqu’à ce que tu rendes grâce"
 
"Fils, ne fais pas la femmelette, tu es un homme, tu te dois d'être fort et courageux. Je t'interdis d'avoir peur, touche cette araignée."
Des sermons comme ça, j'en ai eu des milliers durant mon enfance, être fort, courageux, c'était tout ce qui comptait pour ma mère. Etre un mâle, un vrai, qui n'a peur de rien. Celui qui déplace les montagnes. Celui auquel même l'inconnu ne lui extirpe pas un frisson. Frapper le premier, avoir les meilleurs notes, être le meilleurs en sport, avoir une belle fille, mais attention, une fille bien. Je devais tout le temps avoir le top du top. Sinon c'était brimade, et torture psychologique. Ma mère était une psychopathe, une vrai, celle qui vous empoisonne à la mort au rat jusqu'a ce que vous creviez, lentement, que votre organisme se déchire de l'intérieur, à petit feu. Mais j'était néanmoins son fils, et comme j'aspirait à ce qu'elle soit fier de moi, j'évitais la mort aux rats. 
Mais cela ne empêchait pas de me droguer, me sous nourrir, m'affamé, me laisser mourir de soif, me privé de ma dignité en m'attachant à un mur 3 jours durant. Vous vous demandez en quoi être attaché 3 jours prive de dignité ? 
Et bien je ne vous le direz pas, et si vous ne l'avez pas deviné, c'est que vous êtes de la vermine, tel dirait ma mère.




Dans tous les cas, ma mère était une tortionnaire hors pair, elle n’avait peur de rien à mon égard, rien. Elle savait que je n’oserais jamais abimer son visage divin, d’autant plus que mon père m’aurait détruit dans la seconde suivante, mais ça la rendait… Tout permis.
Elle était prête à tout pour que je réussisse, et j’ai réussi. Mais à quel prix ?
 
J’étais le meilleur de ma classe, et quand je le fus je devais être le meilleurs de ma section, plus j’en avais, plus elle en voulait. Je n’avais plus de temps pour moi, j’étais son trophée ambulant, je lui ramener les médailles, les papelards de réussite de concours, et elle était contente. Le plus drôle, c’est que je n’y gagnais rien dans tout ça. Pire, quand j’échouais c’était un calvaire. Je devais supporter ses coups, bien que ce ne soit que des gifles fort heureusement, ses brimades, ses réprimandes, toutes ses piques comme quoi j’étais un incapable, un incompétent, un bon à rien. Alors que j’avais accumulé plus de succès que toute notre ligné réunit. Bon, je gagnais en nombre, mais mes oncles thésards y gagnaient en qualité.


 
Désobéissance


"Et plus je la refoule, plus je sens qu'elle devient folle,
Me triture l'encéphale pour enfin prendre la parole.
Et là, plus rien n'est drôle, non, plus rien ne parait frivole,
Elle ouvre la gueule et plus personne ne rigole."


 

 
 
Et ce qui devait arriver arriva:
« Mère je sors ce soir. »
« Pour aller où ? »
« En boite. »
« Pour rencontrer des filles vulgaires ? Je t’interdis d’en ramener une à la maison. »
 

 

Cette nuit-là, tout bascula. J’avais eu mon année, avec brio comme toujours, et ce soir-là on était parti fêter cela. Elle ne m’aurait jamais laissé sortir sans une bonne raison de toute manière. A par pour aller à un banquet chez je ne sais quel bourgeois gentilhomme plein de fille toute ennuyeuse à mourir.
L’alcool frappait fort, à dire vrai… c’était ma première cuite. J’avais déjà était saoul, une fois, mais y’avait ma mère à côté, donc je n’étais pas une épave, juste ivre, encore conscient.
Mais là, là, j’étais un débris, je dansais à en perdre haleine, migrant du bar vers le milieu de la piste, puis d’un coup, net, c’est presque comme si j’avais dessaoulé. Je me moquais de m’être ruiner au bar, de toute façon mon argent ne me servait à rien. Mais… Elle. Elle.
Frappé par la foudre. Saleté d’ivresse. Il s’était net arrêté de danser, si il avait pu il serait tombé à la renverse, mais il y’avait trop de monde pour que cela arrive. Il écourta rapidement son absence, son ventre le mordait, il sentait un nœud se former, quelque chose… de nullement familier. Il en avait vue des filles pourtant, habiller de robes, de corset, de débardeur, il avait vue toute les tenues imaginable en soirée, ou presque, mais… son accoutrement était tellement singulier accompagné de la personne qu’elle était, qu’il en resta abasourdi un instant. Stupide alcool. 
Il s’approcha sans crier gare, et dansant avec la jeune fille qui n’en demandais pas moins. Rapidement, la tension entre eux s’échauffa et l’intensité devint rapidement palpable, leur regard les vendaient sans difficulté, ils se plaisaient mutuellement et ça crever les yeux. 
Poli fils à maman qu’il était, il se présenta rapidement, enfin, maladroitement, pour ne pas dire catastrophiquement, fichu alcool. Heureusement, la jeune fille était dans un état similaire, ce qui écourta diablement leurs présentations, et rapidement, les langues se délièrent pour ne laisser parler que leurs lèvres. Il la pressait tellement qu’il n’avait même pas remarqué l’avoir soulevé pour l’embrasser, il n’était plus conscient de quoi que ce soit de toute manière, il aurait dû être réservé, au moins un peu, un chouia. Mais il n’en était rien, les mains baladeuses de la jeune fille incitèrent les siennes à faire de même et rapidement il l’invita à finir la soirée chez lui.
Grossière erreur que d’oublier les menaces d’une personne comme ça mère. D’autant plus quand on a un lit qui donne sur la chambre parentale, et que le lit est contre le mur, et que ce dis lit, grince et claque contre le mur. 
 
Le lendemain fut le jour le plus douloureux qu’il n’eut jamais eu. Son insatiable conquête l’éveilla avec douceur, en profita pour manger un bout dans sa demeure, puis s’en alla avec toute la grâce qui pouvait lui rester. Le laissant seule face au prédateur en puissance qu’était sa génitrice.
Il s’attendit au pire, néanmoins, aucune réprimande, aucune gifle, rien. Juste un mal de crane atroce le lendemain et une ceinture de chasteté au réveil. Oui, elle l’avait drogué et l’avait privé de sa virilité.
« Je t’avais dit de ne ramener personne. Maintenant j’en serais assuré. En plus elle n’avait rien pour elle, aucune dignité, aucune fierté. »
« Elle était belle, cesse de l’insulté. »
« Ah tu la défends ? Tu te montes contre moi maintenant ? »
« Pardon… »
« Je préfères. Va manger maintenant. »
Les jours passèrent et les deux se retrouvèrent à nouveau, néanmoins, William paru plus… moins enjoué que le soir de leur rencontre. Ils avaient beau être dans sa chambre, et seuls occupant de la maison, il n’avait pas envie. Mais il n’était pas seul, et leurs jeux innocent changea rapidement de registre. Malheureusement pour lui, l’inertie du moment était trop forte pour être stopper par une babiole en plastique et d’un cadenas. 
 
 
 Ils réussirent à enlever la babiole, non sans douleur. A dire vrai, lors d’un instant, il crut qu’ils n’y arriveraient pas, que le bordel allait tout broyer sous leurs essaies. Elle riait, impatiente, tandis que lui souffrait le martyr, elle faisait attention, mais  ça il n’en avait pas du tout l’impression.
Enfin libre, ils purent terminer leurs jeux, et il se moquait éperdument de sa mère, elle ne comptait plus. Elle l’avait conquis.
 
 
Le lendemain fut un jour terrible, sa mère raccompagna poliment la jeune fille jusqu’à la porte avant de s’en retourner corriger son fils. Mais la rébellion était en marche. Plus jamais il ne laisserait son territoire se faire conquérir par l’usurpatrice qu’elle était. Maintenant il avait une nouvelle dirigeante pour le guider. Et pas cette chose insatiable de diplôme et médailles inutile.
 
Il fut attaché, pieds et poings liées, se vit mettre de ses propres yeux l’objet qu’il redoutait tant et dont il avait tant souffert pour s’en débarrasser, d’autant plus que celui-ci, il ne l’enlèverait pas sans clef. Elle le tenait, même par les couilles.  Quatre jours après, la leçon n’était pas apprise, rapidement, elle comprit qu’il ne lâcherait pour rien au monde ce qu’il avait gagné. Elle comprit alors de quel mal son fils était épris. Son fils était amoureux. Et savoir cela la déchirait, elle savait à l’avance qu’il en souffrirait plus tard, du moins, elle en était persuadé. Elle comprit quand il menaça de se couper un doigt si elle ne lui retirait pas ses contraintes, et pour faire exemple, il avait égorgé le chien, son propre chien, à lui, qu’on lui avait offert en guise de compagnie. Elle abdiqua et relâcha son fils, essayant de sauver la face en annonçant
«Prend ça comme un cadeau, je t’offre d’avoir une relation avec elle, mais je te préviens, la prochaine fois tu pourras te couper un doigt, peu m’importera. Tu n’as pas intérêt à me décevoir à nouveau. »
« JE t’aime mère. »
« Je sais. Maintenant va déjeuner. »
Leur relation puis perduré nettement plus sereinement que précédemment, et il savait qu’au final, ça mère n’y était pas pour rien dans les choses. Ca ne l’aurait pas étonné si ça mère avait avoué avoir drogué sa dulcinée à chaque fois qu’elle venait chez eux.
 
Trahison

I had a heart and it was true,
It fled from me and went to you.
Please take care of it has I have done,
Because now you've got two and I've got none.


 
Vous êtes-vous déjà fais trahir ? Savez-vous à quel point c’est douloureux ?
Eh bien moi je peux vous le dire, quand vous pourriez mourir les yeux fermé pour quelqu’un, et que celle-ci vous poignarde dans le dos, c’est la douleur la plus atroce qui soit. Celle auquel on n’est jamais préparé. Celle qui ne s’encaisse pas, celle qu’on subit.
Ce fut l’effroi le plus total qui parcouru William lorsqu’il apprit que sa déesse fut enceinte et qu’elle eut avorté. Et sa mère ne se gêna nullement pour lui dire « Je t’avais dit qu’elle te ferait souffrir. ». Ce fut le seul jour où il frappa sa mère. Une gifle, du revers de la main. Il venait de perde son fils, ou sa fille, et c’était la seule chose qu’elle avait à lui dire ? Salope.
Il ne put revoir sa dulcinée, non pas qu’on lui interdit, juste qu’il ne pouvait pas encaisser cela, il l’avait aimé plus qu’il ne s’était aimé lui. Il aurait volé, cassé, tué pour elle, n’importe quoi, il aurait remué ciel et Terre pour lui apporter ce qu’elle aurait voulu. Et elle le récompensait de la sorte. Elle l’avait abattu.
 
Le temps passa, il pardonna mais n’oublia jamais. Du moins, il essaya de pardonner, et il pense avoir réussi. Mais le passé reste. Il écouta celle qui ne voulait que son bien et fini par déménager pour Another, soi-disant les études était plus prestigieuse là-bas. Il s’en moquait, il n’avait plus gout à rien. Plus gout à la vie, plus d’envie, plus rien. Un cadavre ambulant, 80 kilogramme plongé dans un nœud coulant.

La haine, c'est quasiment tout ce qu'il ne restait; et un nom : Beloved Hanazawa. Jamais il n'oublierais, jamais, jamais, jamais. Au final, il s'en voulait lui aussi, il était déchirer, autant par la trahison qu'iul avait subit, que celle qu'il avait infligé en réponse, à elle comme à lui. Il ne valait pas mieux qu'elle. Lui aussi était un parjure, un traitre, une sale race, une pourriture. Il avait surréagit, s'était emporté, il n'aurait nullement du réagir de la sorte, être calme, et réfléchit. Mais vous auriez été calme et réfléchit vous? Lorsque vous apprenez que votre vous, votre moitié, à tué votre progéniture ? Le pire, c'est qu'elle ne lui avait même pas dit qu'elle était enceinte. C'est vache quand même.
 
Vous vous demandez s’il y serait allé s’il avait su qu’elle y était aussi ? Eh bien, posez-lui la question.
Mais après-tout, peut-être n’était-ce encore qu’une manigance de sa génitrice qui avait une fois encore tout calculer.
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Another Day


Dernière édition par William Kyband le Dim 12 Oct - 12:07, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeSam 11 Oct - 14:38

Bienvenuue a toiii ~~~ suis la 1ère yes! 8D 

J’espère que tu te plairas ici et bonne continuation pour ta fiche!  I'm so happy !
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Beloved Hanazawa
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeSam 11 Oct - 15:02

Tu me vois ravie de te voir ici. Bienvenue parmis nous mon ♥ ~
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeSam 11 Oct - 15:43

Merci Kumin, bonne chance à toi aussi !



Merci Beloved, cet annonce me fais chaud au coeur ♥
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Alizire Eclarey
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeSam 11 Oct - 18:58

Bienvenue à toi petit poney ~ J'ai un peu du mal à suivre ta présentation, mais j'suis fatiguée faut pas m'en vouloir, le non-sens et moi ça fait entre 1 et 42 selon mon état mental.

Bonne chance pour ta fiche. Au passage, à propos de ton pouvoir, je te conseillerai de le développer un peu (ce qui devrait aussi le rendre plus intéressant je pense) : à savoir combien de temps peux-tu rendre un corps invisible, et surtout, ce que tu entends par "corps" (matière organique, êtres capables de penser ?... enfin tu me suis ?).

Voilà, ce sera tout... pour le moment ~
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeDim 12 Oct - 0:55

Voila, ne me manque plus qu'a chercher le code.
ps : je n'ai aucune idée de pourquoi les balises apparaissent, car elles n'apparaisse meme pas quand j'essaye d'éditer mon message. Donc je ne peux pas enlever ce que je ne vois pas...
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Jennyfer Definder
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeDim 12 Oct - 2:12

Alors comme dit sur la Cb Bienvenue !!
Pour les balises tu as une petite feuille (genre comme nouveau sur word et autre traitement de texte) qui s'appelle basculer en mode d'édition.
Elle te permet de voir tous les codes et ainsi de les réajuster... Pour ton problème à toi il manque je crois (après rapide coup d'oeil vu l'heure avancé) les balises de fermeture... [/texted'exemple]


Et... Ya ma boite de mp si tu veux un rp ^^
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeDim 12 Oct - 12:06

Fiche fini !

Merci Jenny ! diable je ne connaissait pas ce satané bouton ! milles merci !
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Hugo 'Ugh' Weiss
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeDim 12 Oct - 16:40

Bon je valide de mon coté, j'aime bien ton personnage, ton pouvoir aussi est très bien détaillé. J'aime bien. On manque de personne cruelle dans se forum ~
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Evanna K. Walker
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitimeLun 13 Oct - 19:32

Bienvenue ! ♥
Désolée de ne pas te l'avoir dit avant, j'étais plutôt occupée. x)
Ta fiche me va aussi, et comme tu as précisé ton occupation sur la cb, je n'ai rien à redire.
Bon jeu à toi.


Félicitation
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MessageSujet: Re: Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini]   Ce plat qui se mange froid, cette hache que je déterre. - William Kyband [Fini] Icon_minitime

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